Je suis reparti en Argentine ! Bientôt le nouveau blog ...
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samedi 5 juin 2010

Un petit tour du côté du paradis

Après une après-midi suffocante dans Bangkok apaisée (de force), je monte dans un bus de nuit, direction le sud, direction les îles. Il me reste presque trois semaines, j’ai décidé de les passer intégralement dans ces endroits de rêve, histoire de me reposer et de prendre le temps de repenser aux onze mois qui se sont écoulés. Exit la Malaisie et l’Indonésie, qui auraient fait de cette fin de voyage une vraie course contre la montre, l’antithèse du voyage pour moi. Toute la difficulté est maintenant de choisir sur quelles îles paresser, sachant que je devrai descendre jusqu’à la frontière malaisienne pour gagner 15 jours sur mon visa.

Une nuit plus tard, après un voyage pénible à cause d’un type pénible qui a soûlé le bus toute la nuit en parlant, et moi le premier puisque j’étais à côté, j’arrive à Krabi, sur la côte ouest appelée côte Andamane. J’avais entendu dire que c’était un beau coin, mais ma première vision n’est pas très réjouissante, et le Lonely Planet, consulté un peu tardivement, me confirme qu’il n’y a pas grand-chose à y faire. Par contre, à proximité immédiate se trouvent quelques-uns des plus beaux joyaux de la Thaïlande, à commencer par Koh Phi Phi. Donc je prends tout de suite mon ticket pour la traversée en bateau, et deux heures plus tard le bateau accoste au port. En route j’ai rencontré Steffi, une allemande qui voyage quelques mois en Asie.

Koh Phi Phi est une légende, autant pour sa beauté façon « carte postale », que pour avoir été ravagée par le tsunami en 2004. Au premier abord je ne suis pas impressionné, même si le temps couvert explique que la couleur turquoise des eaux ne soit pas au rendez-vous. La concentration touristique du village Hat Tonsai, concentration en agences de tourisme, restaurants, hôtels, bars … est là aussi pour casser le charme. En s’égarant dans des petites ruelles, on trouve tout juste une vraie vie locale. Après s’être sorti du labyrinthe de ruelles piétonnes, au rythme des « Phi Phi !» des locaux qui veulent se frayer un chemin en vélo, Steffi et moi trouvons une chambre basique à un prix abordable, c’est un soulagement au vu des prix pratiqués sur l’île. Une fois installés, on file voir la plage opposée au port. Koh Phi Phi est la carte postale parfaite parce que c’est un isthme de sable qui relie deux rochers immenses. Dans le village il y a donc deux plages distantes de 100 mètres à peine, surplombés par des rochers remplis de végétation. Mais aujourd’hui la carte postale n’est pas évidente. On attendra le soleil pour voir l’eau d’une couleur magique.

Après un dîner rapide au marché local, où même là les prix du continent sont multipliés au moins par deux, on fait un petit tour nocturne sur la plage, conquise par les bars qui rivalisent en lumières et en spectacles de feu. Le spectacle classique de l’ultra-tourisme … Et je vais m’écraser dans mon lit, après 40 heures sans sommeil.

Le lendemain, après avoir difficilement trouvé un petit-déjeuner à prix abordable, direction le port pour une journée de snorkeling. Nous avons réservé le tour classique d’une journée, qui fait le tour des îles voisines et des sites de snorkeling. Entassés à douze dans une pirogue, on commence par le petit arrêt obligé sur la plage aux singes, pour leur donner des bananes du bout des doigts. On continue vers un premier site de snorkeling. Evidemment ça ne vaut pas la vraie plongée, activité reine sur les îles, mais même avec un simple tuba, les poissons et le corail sont magnifiques. Au bruit assourdissant du moteur, on navigue vers Bamboo Island, plage splendide aux eaux turquoises et sable fin pour déjeuner.




On enchaîne un ou deux sites de snorkeling, pour terminer par le clou de la journée, une petite marche sur Phi Phi Leh pour arriver sur Maya Bay, la fameuse plage où a été tournée le film The Beach. Difficile de la reconnaître puisqu’elle avait été trafiquée au montage, avec un rocher supplémentaire pour donner l’impression qu’elle est quasiment fermée. Alors qu’en réalité elle est largement ouverte sur la mer. Mais cet endroit reste splendide, la plage est coincée entre de gigantesques rochers. Manquent encore les eaux turquoises, à cause du temps couvert, arrrgh !




Retour sur Phi Phi Don, où nous passons la soirée avec un jeune couple néo-zélandais, découvrant des pittoresques bars de plage et luttant contre la fatigue d’une longue journée sur la pirogue. Le lendemain nous prenons notre courage et notre bouteille d’eau pour monter au point de vue qui domine le village Ao Ton Sai et le fameux isthme. La montée est courte mais riche en transpiration, et en haut la récompense est bien là. La vision de l’île parfaite, la carte postale que l’on avait dans un coin de notre mémoire, la couleur magique de l’eau, l’isthme de sable presque trop beau pour être vrai qui relie deux plages arrondies, les rochers majestueux qui dominent le tout, et le soleil enfin éclatant.




Sur ce point de vue, on trouve une photo montrant le triste spectacle juste après le tsunami. Bien sûr il ne reste presque plus aucune trace de la catastrophe, sauf quelques débris dans les zones de vie locale, cachées derrière les ruelles touristiques. Et de nombreux restaurants affichent leurs propres photos, remerciant tous les touristes qui étaient là et ont aidé à la reconstruction.

Nous redescendons et marchons une demi-heure le long de la côte, longeant les bungalows cachés dans les arbres, jusqu’à Long Beach, bien plus belle que les plages principales et très calme en cette saison basse. Une après-midi de vrai farniente comme je n’en ai pas eue depuis longtemps, entre lecture et baignade dans les eaux chaudes couleur turquoise. De retour au village, je prends une initiation gratuite à la plongée dans une micro-piscine, histoire d’avoir une première sensation avant de dépenser des fortunes. A l’horizon de mon voyage pointe Koh Tao, ultra-réputée pour ses sites de plongée … On retrouve le couple néo-zélandais dans un petit restaurant de plage, mais la soirée se fait finalement très courte.

Dès le lendemain, nous quittons Koh Phi Phi, en ayant peut-être manqué quelques beaux coins isolés, mais je reste sur ma faim par rapport à sa réputation, et je veux avancer. Les jours sont comptés, je suis bien obligé d’y penser et de calculer. Direction une autre île très réputée, Koh Lanta, située à une heure de bateau. Les rabatteurs des guesthouses n’attendent pas gentiment que l’on débarque sur Koh Lanta, ils sont déjà à l’œuvre dans les rues de Koh Phi Phi, démarchant toute personne qui se balade avec ses bagages. Ils proposent tous des hôtels sympas avec piscine, en bord de mer bien sûr, à des prix deux à trois fois inférieurs à ceux de la saison haute. Ce n’était pas calculé, mais je me rends compte que je n’aurais pas pu voyager longtemps dans les îles si j’étais venu après la mousson et non avant. Je subis peut-être la chaleur écrasante depuis trois mois, mais il y a des avantages. Nous avons donc l’embarras du choix, quatre dépliants plus beaux les uns que les autres en main, avec l’assurance de ne payer que 5$ la nuit chacun.

Arrivés à Koh Lanta, nous sommes bien sûr pris en charge par l’hôtel que nous avons choisi. Changement total de décor, Koh Lanta est une île beaucoup plus grande, avec des routes larges et des voitures, et surtout une vraie vie locale. Et l’exploitation touristique paraît plus faible ici, malgré les innombrables panneaux indiquant les resorts cachés au bout des chemins. Installés dans notre petit bungalow avec TV et frigo (un luxe), nous pouvons profiter des lieux et surtout de la belle piscine devant la plage, et nous rendre compte que la plage n’est pas terrible. Enfin à ce prix-là, difficile de tout avoir, j’ai rarement eu autant de confort pendant mon voyage. Nous rencontrons Mickaël et Aurélie, un couple français qui rentre de trois ans passés en Nouvelle-Zélande. Nous partons marcher le long de la route, sans but précis mais pour découvrir les alentours, et sommes embarqués dans le tuk-tuk de trois femmes hilares qui vont vers le marché. La première impression en arrivant à Koh Lanta, c’est de voir combien la communauté musulmane est présente, et peut-être même majoritaire. On voit de nombreuses femmes voilées, même de très jeunes filles le sont, et l’on voit régulièrement des niqab. Déjà à Koh Phi Phi j’avais été frappé par le nombre de femmes voilées, mais c’était sans comparaison avec Koh Lanta. C’est toujours surprenant lorsque l’on n’a pas visité des pays comme la Malaisie et l’Indonésie, et que l’on a encore une image classique de l’Asie, associée au bouddhisme. Mais islam et bouddhisme semblent cohabiter paisiblement, et on ne sent aucune barrière, même avec les étrangers aux tenues légères.

On arrive donc au marché, et là on ne résiste pas, on goûte à tout ce qui se présente, fruits exotiques, pâtisseries encore jamais vues ailleurs en Thaïlande (et visiblement liées à la culture musulmane). On ne sent pas sur une île touristique, l’ambiance est très détendue et les gens souriants. Nos trois femmes hilares nous attendent dans leur « side-tük-tük », on repart vers notre hôtel. C’est amusant de voir qu’en Amérique du Sud et en Asie, chaque ville a ses propres engins originaux en guise de taxi, souvent basés sur une mobylette mais presque toujours différents. D’une ville à une autre, quelquefois peu éloignées, on trouve des mototaxis ou tük-tüks différents, mais tous strictement identiques à l’intérieur d’une même ville.




Onze mois de voyage m’ont habitué à ce que rien ne soit jamais désintéressé, et surtout pas les propositions de transport, et pourtant là elles ne nous demandent rien, alors on leur paie l’essence spontanément et avec plaisir. La journée se termine tranquillement entre piscine, dégustation du pad thaï acheté au marché pour presque rien, et un petit Uno pour réveiller le cerveau bercé par tant de douceur de vivre.

Le lendemain, on négocie sèchement le prix des scooters avec le patron taciturne de l’hôtel qui nous prend pour des cons, et on part explorer l’île. Premier arrêt au centre de l’île, dans un resto qui donne un point de vue magique sur la côte est, avec de nombreuses îles au large, de la verdure partout, et une eau bleue à se noyer les yeux. On savait que notre plage sur la côte ouest n’était vraiment pas la meilleure, mais là le contraste est raide.




On descend vers la vieille ville Ban Lanta. On se retrouve dans un petit village épargné du tourisme, endormi au bord de l’eau, aux maisons chinoises en bois plus authentiques les unes que les autres, un calme et une sérénité absolus. On visite d’abord Hammock House, le magasin le plus réputé en Thaïlande pour ses hamacs. Il y en a de toutes les sortes, toutes les couleurs, dans une superbe boutique en bois. C’est tentant mais ça risque de peser très lourd dans mon sac, et je ne vois pas bien où l’attacher chez moi (ou bien ai-je déjà oublié à quoi ressemble mon appart’ ?).

On se balade sur la très longue jetée, puis sur le petit marché du dimanche, encore plus charmant que celui de la veille. Là encore on goûte à tout, on essaie de se faire expliquer ce qui est devant nos yeux mais à peine une personne sur vingt baragouine quelques mots donc il faut prendre des risques, heureux … ou pas. On repart sur la magnifique route côtière vers le sud, qui se termine par un hôtel un peu désert avec des bungalows perchés dans les arbres. On ne peut malheureusement pas faire le tour complet par le sud, il n’y a plus de route, donc retour vers le nord en longeant les plages splendides, en jetant un coup d’œil au bleu magique de la mer, en admirant aux îles au large. Un petit arrêt pour Mickaël et Aurélie devant une maison qui propose des treks en éléphant, pour se rendre compte qu’ils ne paraissent pas très bien traités, donc on repart et on s’arrête devant l’Ecole des Singes, qui propose un spectacle très cher et apparemment attrape-touristes, donc on repart et on s’arrête pour une petite balade au milieu de la mangrove, un milieu étonnant bien qu’assez boueux. Les tours en kayak proposés dans la mangrove puis sur les îles sont tentants mais encore une fois très chers malgré l’énorme remise de basse saison. En Thaïlande je ne comprends décidément pas l’écart entre le coût moyen de la vie et le prix des tours organisés, même lorsqu’ils manquent cruellement de clients.

On fait le tour de l’île par le nord, on traverse la ville principale, on profite du 7 Eleven (la drogue du touriste en Thaïlande, le petit lien avec le confort occidental). Après un court arrêt à l’hôtel, je repars seul au restaurant Time for Lime, réputé pour ses cours de cuisine. C’est un endroit très cozy et plein de bon goût au bord de la plage, tenu par des expatriés. Je profite du wifi, de la margarita au lemongrass, du coucher de soleil, de l’excellente cuisine fusion avec Mickaël, Aurélie et Steffi qui m’ont rejoints, et passe une soirée juste idyllique grâce à la classe de ce lieu. Dans les pays pauvres, on mange local pour le dépaysement et soigner le portefeuille, mais on cherche aussi les lieux spéciaux tenus par des expatriés pour se sentir vraiment bien. On ne renie pas ses origines et ses goûts …




Le lendemain est une journée tranquille, entre petit-déj’ dans une pâtisserie française décevante, piscine, balade sur la longue plage, mon gros bouquin enfin fini, un peu d’écriture, et une soirée relax au bar voisin. Le surlendemain … aussi. Je renonce à reprendre un scooter, les yeux peut-être trop fixés sur mon budget de fin de voyage, et je glandouille tranquillement à l’hôtel, profitant un peu de TV5 Monde (pour me réacclimater progressivement !) et faisant exploser ma stat’ des cafards écrasés.

Je quitte Koh Lanta le surlendemain et quitte Steffi. Mon objectif n’est pas des plus réjouissants : aller jusqu’à la frontière malaisienne pour obtenir 15 jours de plus sur mon visa. L’assurance d’au moins une journée complète en bus ! J’avais prévu de m’en rapprocher en visitant Koh Tarutao ou Koh Lipe, mais en cette basse saison on m’a dissuadé d’aller m’enterrer sur ces îles. Tiens voilà une réflexion que je me faisais récemment, il y a un inconvénient à voyager seul, on fait souvent des choix moins audacieux, on ne sort que modérément des chemins battus, par peur que ce soit compliqué ou de se retrouver vraiment seul. Ou peut-être faut-il plus d’un long voyage pour passer ce cap et tout oser ?
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21 commentaires:

  1. Bonjour Nicolas !
    Profite bien de ces jours de repos dans ces iles paradisiaques et reviens nous en pleine forme.
    Le temps file trop vite pour toi, pas assez pour nous!....
    A très bientôt

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  2. Bonjour mon toutou adoré,
    je vois que tu t'amuses bien dans les îles mais je suis très pressée de te revoir!
    a très bientôt

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  3. Ca fait un paquet de temps que je n'ai pas pris la peine de te visiter... Ce n'est pas comme les feux de l'amour ton voyage. Si tu loupes une quinzaine, tu ne t'y retrouves plus, alors que la série TV, 3 ans d'absence, tu reviens, tu comprends toujours tout !

    Ben pour nous ça se précise, début chantier 14 Juin... on est ready ! (blog à jour si tu t'ennuies...)

    La qualité des photos et articles ne changent pas... Et toi Nicolas, comment vas tu ? Si tu devais choisir un pays, au momnet M que tu lis ce message, où vas tu vivre pour toujours ?

    Tu seras de retour dans 3 semaines et notre invite tient toujours...

    A bientôt de te relire un peu plus et de te voir Nicolas. @+

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  4. @Maminou :
    beaucoup trop vite, j'ai du mal à réaliser que c'est fini ...

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  5. @Héloïse :
    attention les toutous ça mange les crevettes !
    à très bientôt, gros bisous !!

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  6. @Philippe :
    non pas 3 semaines, 1 semaine :-(
    mais entre un long week-end à Grenoble, mon réaménagement, et une tonne de choses à faire, je ne sortirai pas la tête de l'eau avant fin juin ! merci pour l'invite, je te ferais signe dès que ça se dégage.
    Un seul pays ? difficile à dire.
    Bon courage pour le chantier !
    @ +

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  7. bon courage pour la fin et la réacclimatation...
    et encore merci pour tous ces bons moments apr web (bon il doit bien en rester encore qquns j'espère)

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  8. Yo Nico,
    comment ça une semaine ? tu décroches avant l'heure ?
    Sorry ai été un peu pris et débordé ces derniers temps, histoire de recoller et peut-être déjà l'avant dernier post ?
    Bises
    Bru

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  9. @Fred :
    pas trop besoin de courage pour la fin, je termine par une belle île de plus, Koh Tao. Par contre pour la réacclimatation, là oui je vais en avoir besoin.
    Ne dis pas merci trop vite, il reste encore un article de voyage, et 2 ou 3 après-voyage !
    merci & @ +

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  10. @Burns :
    Je ne décroche pas avant l'heure, je rentre à la date prévue depuis le début. Certes c'est moins d'un an, mais je suis attendu à Grenoble le 19 juin ... Tu y seras ?
    Bon anniv' mon gars !!
    @ +

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  11. Yo mec,
    non sorry mais pour nous c'est cuit
    par contre t'es cordialement invité à la maison le soir de ton choix.
    Bises
    Bru

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  12. salut nico !
    c'est pas mal de terminer en apothéose !! on sera la pour l'attérissage en douceur sur la plus belle piste du monde : la digue de wimereux...si si !!
    quand à moi ,je suivrai tout les post jusqu'a la fin et même encore aprés !

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  13. @Burns :
    rhaaa c'est con ! alors @ + en Picardie ou à Lille ...

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  14. @Fabienne :
    Oui atterrir à Wimereux est une consolation, dans un style moins exotique ça reste un bel endroit dont on ne se lasse pas.
    Pour les posts il y en aura encore quelques-uns après voyage, donc effectivement il ne faut pasdécrocher tout de suite !
    @ +

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  15. super tous ces mails d'encouragement pour le retour ! Au fait tu me donneras tes horaires.
    Ton colis est bien arrivé et nous avons regardé la vidéo et les photos. Les filles étaient super contentes. Il y en a une qui piaffe d'impatience!!! Son doudou préféré lui manque...

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  16. @Maminou :
    Le colis avec les chaussures ? je comptais justement te demander, j'y croyais plus, presque 4 mois de voyage en bateau pour arriver du Vietnam ...
    Pour les horaires je sais pas encore comment je vais de Londres à Wx, mais c'est le 15, pas le 14.
    biz

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  17. quelle fin de voyage ! tu as bien raison de finir par de la glandouille ! reviens en forme . vianney

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  18. @Vianney :
    pas tant glandouille au ça, j'apprends la plongée !

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  19. Pitin Les boules,
    bon courage ...
    On est tous avec toi ;-))))

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  20. @Anonyme-Pitin-Les-Boules :
    ben merci beaucoup mais t'es qui toi ? hein t'es qui ?

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  21. Anne Constance12 juin 2010 à 08:10

    Profites a fond de ces derniers jour et bon courage pour le retour.Le vrai voyage c'est aussi pouvoir y aller mais revenir et garder les bons moments de cette expérience inoubliable. Merci pour ces beaux moments et ces les photos et récits de qualité

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