Je suis reparti en Argentine ! Bientôt le nouveau blog ...
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samedi 19 septembre 2009

Stylée, splendide, rebelle ... Arequipa

¡ Buenos dias amigos !

Adieu le désert chaud et envoûtant de Huacachina, mais je ne perds rien puisque j’arrive dans une des plus belles villes du Pérou, j’ai nommé Arequipa.

Avec Ophélie, nous arrivons donc au petit matin au terminal de bus d’Arequipa, avec quelques adresses de petits hotels sympas comme on les aime : pas cher, propre, sympa, avec beaucoup de backpackers à rencontrer … et si possible le wifi. Direct le taxi essaie de nous enfler et annonce la course à 5 soles … à deux mètres du panneau qui affiche le tarif réglementaire à 3,5 soles. Leur culot devient fatigant et vexant.

Il nous dépose à la première adresse, où personne ne répond. OK il est 6 heures du mat’ mais bon, en général dans ce pays ils ne se font pas prier pour avoir de nouveaux clients ! Le taxi insiste lourdement pour nous emmener gratuitement à la troisième adresse de notre liste (ben oui, il veut toucher sa com’ le garçon), mais notre deuxième adresse est à deux pas, nous décidons d’y aller à pied avec nos 20 kgs (mas ó meños) sur le dos et le ventre. On a l’air fins, mais on s’en fout, on aime marcher, on a la santé (depuis peu), et on aime faire la nique aux taxis, hé hé.

Va pour le deuxième, l’Hostal La Reyna. C’est une sorte de labyrinthe d’escaliers et de terrasses qui domine le monastère, un des objectifs dans cette ville. Et près du centre, des bars, restaurants … La petite chambre sur le toit ne manque pas de charme, enfin à mon goût seulement. Si le wifi pouvait être un peu moins lunatique, ce serait le bonheur. Oui je sais je parle beaucoup de wifi, je parais n’être vraiment pas désintoxiqué du web dans ce voyage, mais c’est terriblement utile pour t’alimenter en belles images, toi bloglecteur qui glande au bureau et bascule de tes mails perso à Facebook en passant par mon blog.
Hé attention derrière toi, ton chef ! Naaan j’décooooonne, c’est la technicienne de surface qui vient aspirer les crottes de nez dans ton clavier. Non ne nie pas, je sais, et pour cause …

De quoi parlions-nous, où étions-nous ? Ah oui, à Arequipa, Pérou, Amérique du Sud, en tour du monde. Donc après un petit somme pour récupérer du voyage de nuit, malgré le bus confort que nous avions choisi, je pars faire un tour utilitaire petit-déj’-laverie-internet puis un tour plaisir de la ville.

Belle ville, c’est peu de le dire, même si j’ai une impression de déjà vu. J’ai l’impression d’être à Cuenca en Equateur : Plaza de Armas magnifique avec sa cathédrale et ses arcades, maisons coloniales somptueuses mais souvent squattées par les banques, un vrai art de vivre qui flotte dans l’air. Je sais, je me répète, mais à force de lire ça, tu vas finir par l’acheter ton billet d’avion pour l’Amérique du Sud !
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En marchant, je croise un péruvien bedonnant qui court. J’ai un pressentiment pendant une seconde, mais je vois trop tard sa victime lui courir après et crier qu’on l’arrête, il est déjà passé. Dommage, quelques secondes avant, il payait pour deux, j’ai un compte à rendre …
Pourtant nous sommes encore dans un beau quartier, près du centre. Et à Arequipa, tout un périmètre est quadrillé de ripoux, pardon je veux dire de flics, jusque tard dans la nuit, pour garantir que le tourisme prospère. Ça me refroidit un peu, je vais encore être sur mes gardes pendant quelques jours.

Je tombe sur un splendide ancien cloître, el Claustro de la Compañia, à deux pas de la Plaza, mais qui semble ignoré de tout le monde, un vrai oasis de paix à 10 mètres du chaos urbain. Vieux murs remis en état, boutiques chics mais discrètes, et un petit café bien sympa tenu par un jeune bordelais avec sa copine péruvienne. J’y trouve quelques trentenaires français installés ici, qui travaillent dans la restauration ou comme guides. Rhums et piscos arrangés, vins français et argentins à la carte, et une petite ambiance tranquille, je vais souvent traîner dans le coin ...
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Je sillonne les belles rues, tout en mitraillant les splendides maisons qui ont toutes leurs patios, rouges, jaunes, bleus, oranges, décorés avec le must du bon goût, tout en déclinant les offres des restaurateurs-racoleurs qui proposent tous la happy hour sur le Pisco Sour … c’est marrant ici, c’est happy hour partout et toute la journée, juste pour que le touriste pas-trop-con comprenne que le prix sans happy hour est une arnaque. Ça ne te rappelle rien ? La « fantastique » et récente idée des soldes quasi-permanentes en France.

Donc tout en sillonnant-mitraillant-déclinant, je remonte à l’hôtel, juste à temps pour « admirer » un feu d’artifice à la fois merdique et dangereux puisqu’il se fait devant l’entrée du monastère, dans une rue très étroite, sans protection pour le public. Hallucinant mais ça change des normes hyper sécurisées dans nos sociétés occidentales.

Après trois malheureux pétards qui font prout et retombent aussi vite sur la foule (un accord avec les vendeurs de perruques ?), nous décidons, Ophélie, deux jeunes américains rencontrés dans l’hôtel et moi-même, de nous offrir un petit resto français, la crêperie de l’Alliance Française. La « Trilogie Douce » me laissa un sourire à provenance papillaire jusque tard dans la nuit. Le temps de faire quelques photos nocturnes de la Plaza, rassuré par les flics en nombre qui délogent les souris des arbustes pour rigoler, mais un peu inquiété par un jeune qui paraît là pour guetter et rabattre les proies vers ses copains postés à trois blocs de là, et je rentre. Les regards très bas sur mes poches commencent à me stresser et m'énerver.
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Le lendemain matin Ophélie est partie tôt pour un trek au Canyon de Colca, je décide de le faire plus tard et de profiter de la ville encore un peu plus. Je fais un tour au quartier résidentiel de Yanahura et tombe sur une petite place paradisiaque, palmiers, fleurs, petite musique latino qui sort de hauts-parleurs camouflés dans l’herbe, pas de circulation, et une vue imprenable sur la ville et le majestueux volcan Misti qui la domine.
De retour dans le centre, je m'arrête dans un resto vide pour m’enfiler un menu énorme et délicieux pour un prix misérable, et je file vers le point-phare de la ville : le Monastère de Santa Catalina.

Ce monastère est un chef d’œuvre, même pour ceux que les cathédrales et églises rebutent, et il a toute une histoire : à l’époque il était de bon ton pour les familles de la haute d’y envoyer une de leurs filles comme nonne, laquelle menait en fait la belle vie : cellule de la taille d’un appartement, au moins deux servantes à disposition, possibilité de recevoir du monde extérieur à volonté et d’organiser sa petite vie mondaine. Un jour une sœur plus authentique et sûrement moins rigolote est venue donner trois tours de vis dans tout ça, et les sœurs se sont retrouvées limitées à une servante chacune (les pauvres !), parquées dans le dortoir et privées de leur vie mondaine. Hé hé, si elles auraient su elles auraient pas venu ! Ben quoi c’est normal, elles avaient fait le voeu de ne pas coucher avec des garçons, alors quoi encore, hein ?
Autre point de l’histoire, une sœur a été béatifiée par Jipi-two. Ça c’est tout bonus pour le palmarès de la maison.

Mais le premier intérêt du monastère, c’est sa beauté : une vraie ville dans la ville, avec son labyrinthe de petites ruelles, ses quartiers, ses murs à l’image de d’Arequipa. Une fois oublié (diffcilement) le prix de l’entrée, on oublie où l’on se trouve, c'est un vrai petit monde caché du monde réel par un grand mur (à cause des sœurs qui voulaient encore voir des garçons). On visite les « cellules » des sœurs, qui portent souvent leurs noms au-dessus leurs portes (pour le voeu de simplicité on repassera) : de vraies petites suites, avec un mobilier souvent très valable sauf le lit, une cuisine particulière extérieure, et des passages et portes dans tous les sens. Différents patios aux couleurs variées, des fleurs et arbustes, fontaines, jardins, un décor enchanteresque. Aujourd’hui une petite partie est encore réservée à quelques sœurs, des vraies et consentantes celles-là, que l’on peut voir déambuler. Je passe deux heures dépaysantes et remplit ma carte mémoire.
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Après un petit tour au café du bordelais, la mine réjouie par les piscos arrangés-maison qu’il me sert, je passe une soirée tranquille dans un nouvel hôtel, plus orienté backpackers et avec un wifi coopératif qui comprend mes immenses besoins. J’essaie, mais échoue, de me coucher tôt en vue de me lever à 3 heures pour partir au Canyon de Colca, un des plus grands canyons au monde par sa longueur et sa profondeur. Le bus me prend donc à 3 heures, après que j’aie dûment réveillé tout le dortoir, et fait le tour des hôtels pour ramasser tous les voyageurs qui ont acheté le même trek organisé. 5 heures de bus nous attendent, avec un passage glacial à 6 heures à 4900 mètres d’altitude, les vitres sont gelées et on n’a pas tellement tellement la pêche. Arrêt petit déj’ en route, et c'est reparti vers Cruz del Condor.

Horreur : c’est noir de touristes qui se pressent déjà sur l’observatoire au bord du canyon.
Bonheur :  je trouve quand même ma place pour observer le bal des condors qui planent juste sous nos yeux et quelquefois au-dessus de nos têtes, profitant des courants d’air chaud au bord des parois rocheuses. Ils planent souvent en couple, se chamaillent quelquefois en plein vol, et se posent à 20 mètres de la foule pour le bonheur des objectifs qui mitraillent.


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Ils sont noirs et imposants, leur envergure est énorme, et leur vol majestueux. Ils volent souvent en couple, en se chamaillant en plein vol. Ils sont peu gênés par la foule, qu’ils voient tous les jours de l’année à la même heure. Bizarrement ils se contentent de planer sans effort, mais ne chassent pas. La réalité est que des indiens du coin jettent régulièrement des carcasses plus bas, pour garantir leur présence et assurer le passage des touristes. Bien sûr on ne nous le dit pas mais je l’ai su. Dommage pour le rêve mais le spectacle reste beau.


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De nombreuses femmes indiennes sont là pour vendre leur artisanat. Les pulls, bonnets péruviens, et autres objets, n’ont rien à envier à leurs propres tenues, éblouissantes de motifs et de couleurs. Leurs joues rouges voire violacées attirent mon objectif, quand elles regardent ailleurs parce qu’elles n’aiment pas trop être photographiées, quoique ici elles ne peuvent pas vraiment refuser.

Encore cinq minutes de bus et nous démarrons le trek avec une jeune guide péruvienne, et le groupe est bien varié quoique très ouest-européen : un couple britannique, un couple parisien, un couple allemand, deux jeunes allemandes et moi-même. Pour surprendre nos genoux peu habitués par cet ordre des choses, on démarre par de la descente, hé oui il faut bien y aller dans ce canyon !

Une fois les genoux en feu, arrêt déjeuner sur l’autre face du canyon dans un petit village paradisiaque, au milieu des palmiers et des fleurs, et on repart pour trois heures de marche à travers les villages quechua, le long des canaux d’irrigation, dans la végétation, pour arriver crevés en fin d’après-midi dans une oasis, occupée par les lodges qui accueillent les trekkers dans des conditions rustiques, sans électricité, dans des cabanes au sol en terre, mais avec une piscine froide pour nous dépoussiérer.

Nous avons droit à un petit dîner sympa, dehors, à la bougie et un peu gelés, et il faut se coucher très tôt en vue de la remontée hors du canyon, prévue à 5 heures du mat’ et le ventre vide. Malgré le froid et les conditions rustiques, je passe une de mes meilleures nuits depuis longtemps. A 5 heures il ne fait pas si froid, rapidement jour, et on se lance dans la pente.

La montée est comme je les aime, juste assez pentue et technique. Je ne gâche pas mon plaisir d’être enfin en forme et monte comme un dingue, doublant rapidement les autres groupes et essayant, mais sans succès, de suivre un muletier qui remontait une fausse randonneuse à dos de mule (pas la seule !). Enfin, avoir reçu un compliment de ce muletier qui monte et descend cette pente plusieurs fois par jour et très vite, aura été ma récompense de la matinée, en plus d’arriver en haut très tôt, très mouillé, et très heureux.
En montagne RIEN ne vaut la montée.

Une fois tout le groupe réuni, dont ceux qui ont eu la mauvaise idée de monter en mule, la récompense est le petit-déj’. Une excellente idée de l’avoir placé après la montée !
Puis nous reprenons le bus, et remontons sur le haut du canyon jusqu’à Chivay. Le canyon est de moins en moins escarpé mais c’est ici qu’il est le plus beau : les deux versants sont truffés de terrasses datant des incas, dans un mélange vert, jaune et marron qui me rappelle certains paysages de l’Equateur. Ces terrasses sont magnifiques, et savoir qu’elles datent d’une civilisation si prestigieuse ajoute au plaisir de les admirer.
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On termine par un bain dans les eaux très chaudes de Chivay, un vrai bonheur après un trek, puis je file prendre un déjeuner très péruvien dans un restaurant local du marché de Chivay, avec les deux allemandes de mon groupe Andrea et Kerstin, pour échapper au piège touristo-gastronomique tendu par l’organisation. En gros nous avons mangé la même chose pour presque 10 fois moins cher, et nous avons encore joui du plaisir d’être entouré de purs locaux, des indiens des montagnes. Retour à Arequipa avec quelques arrêts pour admirer les volcans et un troupeau de lamas et d’alpacas. Je vais rapidement me coucher.

Le lendemain se partage entre une longue session de wifi dans un café pour tout mettre à jour et une visite au musée Los Andinos Sanctuarios, consacré à la momie d’une jeune fille sacrifiée par les incas en offrande à leurs dieux. Le musée est magnifique : une vidéo montre les recherches des archéologues à plus de 4000 mètres et reconstitue le scénario du sacrifice, de l’ascension au coup fatal (oui vraiment tout, avec le sang qui gicle et la tête qui explose, ouaiiiiis !!!). Les habits et parures de la jeune fille sont en parfait état, et sa momie surtout, impressionnante. On précise quand même qu’elle était parfaitement consentante, car honorée d’être choisie et persuadée de devenir une déesse après sa mort, et endormie avant de recevoir le fameux coup sur la tête, dont on voit parfaitement la trace sur le crâne.

Comme tout ce sang nous a donné soif, j’emmène deux jeunes françaises qui suivaient la même visite guidée (en français, incroyable !) au fameux café du bordelais, pour se faire un petit Maracuya Sour (Pisco Sour au fruit de la passion, si tu veux goûter il va falloir acheter ton billet d’avion). Puis je file à l’hôtel pour récupérer mon sac et filer au terminal prendre mon bus pour … pour … le point-phare du Pérou !
Nan j’te dis pas tout de suite ce que c’est ! Allez ferme cette page, reviens vite voir les photos, finis ta partie de Freecell, va jeter ton café froid, et profite de ton clavier tout propre sans crotte de nez.

¡ Hasta pronto amigos y amigas !
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20 commentaires:

  1. Je cite :
    "toi bloglecteur qui glande au bureau et bascule de tes mails perso à Facebook en passant par mon blog.
    Hé attention derrière toi, ton chef ! Naaan j’décooooonne, c’est la technicienne de surface qui vient aspirer les crottes de nez dans ton clavier. Non ne nie pas, je sais, et pour cause …"

    Putain mais t'as des caméras partout ou quoi? Moi qui croyais ne jamais me faire prendre!!!

    David from Orléans-pour-encore-12-jours

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  2. @David :
    Inutile de vouloir m´échapper, je suis là, partout.
    Quand je ne surveille pas via le Net, c´est par ta télé que je te vois. Tu n´as pas regardé sur France2 vendredi soir dernier ? J´y étais, discrètement.
    Allez, retourne dans ta matrice, vilain !
    (et charge le programme Hambourg)

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  3. Un sacre roman encore une fois! Est-ce que tu as un podomètre pour compter combien de km tu marche par jour?

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  4. @Romain :
    j'y avais pensé, mais porter un podomètre toute l'année juste pour avoir un chiffre en bout de compte ! j'ai déjà les poches assez pleines en permanence (appareil photo, guide, plan, carnet, argent, papiers ... ).
    @ +

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  5. Les pérégrinations de Nicolas en terres inconnues et lointaines se poursuivent... la musique nous transporte... the velvet underground, tantôt calme, tantôt rythmée...

    Pour les crottes de nez, moi je les mange !

    Avec tout ce que tu vois, ce que tu sens (par les narines ou dans ton coeur), fais nous vivre LE moment de ta journée ou de ta semaine en 1 seule phrase. Peur, joie, tritesse, fou rire à en pleurer...

    Pour les crottes de nez, je déconne !

    @ bientôt... Philippe Bourgain du 59

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  6. je suis d'accord avec Phillipe Bourgain du 59 un moment par jour ou par semaine ou toutes les deux heures ou 30 secondes peu importe et je trouve ce message bien bourré d'anecdotes ... j'adoooooooore
    mélina

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  7. @Philippe :
    je crois effectivement que le Velvet Underground est dans le top de cette playlist !
    Pour l'émotion de la journée ou de la semaine, je vais voir skeujpefer. Mais rassure-moi, mes articles ne font pas franchement dans l'information objective, neutre et stérile ?!
    Pour les crottes de nez, t'as tort de déconner, c'est très bon !
    @ +

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  8. @Mélina :
    Bon ben je vais essayer, mais je me livre déjà plus que j'en ai l'habitude. En fait j'écris aussi des trucs plus perso dans un carnet, mais je perds le réflexe de noter tout ce qui me passe par la tête.
    En tout cas merciii !
    biz

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  9. SURTOUT ne change rien à tes écrits rédigés avec ton mulot électrique ! Loin de moi cette idée de te faire prendre une autre direction cher rédacteur en chef pour tes bloglecteurs, JUST une phrase, un mot... sans violer tes notes persos non plus... Have a good day !

    Crotte de nez du 59 (Philippe Bourgain du 59)

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  10. Catherine Desmyttere20 septembre 2009 à 16:23

    Super Nico tes récits ! On prend plaisir à voyager avec toi ... Par contre, je n'aurais pas aimé être à tes côtés quand tu t'es fait piquer ton porte-feuille : " quand Nico se fache tout le monde trépasse ". Aille Aille Ouille !Continue à bien écrire, c'est vraiment passionnant, j'adore. Gros bisous à toi, et à bientôt ... Catherine Desmyttere & Co.

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  11. Anne de Bretagne... euh, non de Lorraine20 septembre 2009 à 22:06

    Salut nico, de temps en temps, une lecture groupée... j'en ai pour au moins une heure... et là je suis avec toi... Le Pérou... Quand je pense qu'on aurait dû y être il y a 6 ans pile poil si un certain petit Antoine n'avait pas décidé de squatter à ce moment précis... c'est une autre aventure!!!

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  12. Impressionnant ton voyage Nicolas.
    Il me rappelle mon voyage en Thaïlande dans l'objectif de me "retrouver" et lorsque j'ai fait la connaissance de la mystérieuse Achara alors que j'étais à la plage. Onsort ensemble au restaurant et j'apprend qu'elle a un don. Mais elle ne veut pas en parler tout comme elle ne veut pas entendre parler de mon père car certaines choses sont quand même personnelles. Tous les soirs, elle me rejoint dans ma chambre après sa journée de travail (non, c'est joker !). Un soir, je la suis jusqu'à son job et je découvre que c'est une marqueuse de tatouage. Mais elle me précise qu'elle voit le caractère des gens et le grave en tatouant la personne. Je lui ordonne de me tatouer et de me révéler qui je suis. Elle me dit que je suis un leader mais que cela fait de moi un homme seul. Elle me demande alors si je suis sûr de vouloir être tatoué car il y aura des conséquences. J'accepte alors de surmonter tout ça. Le lendemain, alors que je me rend à la plage, un groupe de thaïlandais m'attaque et m'ordonne de ne plus jamais revenir chez eux. J'espère que ça ne t'arrivera pas.
    Xavier Fagnon de la série "Loost"

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  13. Yo Nicotch,

    pas souvent seul dis-donc ? C'est génial de pouvoir à ce point se sentir éloigné de tout comme jamais, et à la fois jamais autant entouré : quelle richesse humaine !
    je ne sais pas si c'est ton sentiment, mais c'est celui qui a été le-mien et qui m'a donné le goût du voyage ! Jamais plus beau voyage que seul ...

    En revanche,
    où sont Robert, Koen, Mike, Georg, et les autres ?
    plus je te lis, plus je découvre de demoiselles à tes côtés : Ophélie, Kirsten & Andrea, 2 françaises !
    Tu as arrêté de sourire vieux pervers ?

    Bises picardes
    Bruno

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  14. @Catherine : merci ! j'espère que toute la famille va bien !

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  15. @Anne : oui sûrement une autre aventure, plus sédentaire et pourtant sûrement plus crevante. Laissez pousser les 2 petits gars encore un petit peu et ce sera vite possible ...
    biz et merci !

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  16. @Xavier Fagnon :
    voilà un message bien énigmatique, tant par le contenu que par la signature. Il y a bien 1 ou 2 indices pour me laisser penser que le vrai auteur se trouve dans la banlieue emmerinesque de Loos, mais je ne suis pas sûr. Je peux en savoir un peu plus ?

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  17. @Burns :
    Pas souvent seul en effet, mais régulièrement quand même, juste assez pour bien apprécier et être libre. Je me faisais la réflexion récemment sur la proportion hautement féminine de mes rencontres, pas désagréable ...
    Si ça te tente, sors de ton plâtre et rejoins-moi en Argentine, NZ, Australie, Asie ...
    Bises Péru-Boliviennes !

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  18. Cher Nicolas,
    Je suis un comédien spécialisé dans le doublage des voix. J'ai notamment doublé la voix de Matthew Fox qui joue le personnage de Jack Shephard dans Loost, les disparus.
    Concernant la banlieue emmerinesque de Loos, ce doit être un bel endroit, mais c'est où ? Et ce qu'onsort un peu dans ce coin-là ?
    Xavier Fagnon.

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  19. @Xavier :
    Une petite recherche sur google m´a appris qui tu es, mais je suis curieux de savoir comment tu es arrivé sur mon blog (enfin tu es le bienvenu !). Et comme tu continues les jeux de mots sur "onsort" et "Loost", je reste intrigué ...

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