Je suis reparti en Argentine ! Bientôt le nouveau blog ...
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mardi 5 janvier 2010

De la gasoline et de l’adrénaline … still in NZ

Nous arrivons à Wanaka en pleine nuit, il faut trouver une place pour se garer, au bord du lac si possible et près de toilettes publiques. Tout est interdit, tant pis on risque le coup, il est déjà minuit et nous sommes crevés. A 6h30, boum boum boum sur la tôle. Oups, je crois savoir ce que c’est. Je prends ma voix la plus enrouée et mon air le plus malheureux et ouvre la porte, un monsieur pas très souriant me dit qu’il est du Security Council (tant que ça ? ça a l’air sérieux !) et qu’on n’a pas le droit de camper ici.
« Oui monsieur on sait, mais il était minuit quand nous nous sommes arrêtés, nous étions trop fatigués pour continuer à conduire … (en anglais en vrai)
- No camping here, you have to move noooow !
- OK, on move naô.”
Bon au moins il ne nous met pas d’amende, et on bouge à exactement 200 mètres, dans une rue sans panneaux d’interdiction. On joue peut-être aux cons mais là c’est pas marqué que c’est interdit, ben alors !

Wanaka est une petite ville tranquille au bord d’un lac magnifique entouré de montagnes, et on peut voir au loin le Mount Aspiring, enneigé. Nous n’avons pas le temps de nous attarder (c’est triste à dire sur un voyage aussi long mais c’est vrai), et profitons seulement de deux points de vue principaux sur le lac.




Direction l'un des sites les plus réputés de la NZ, le Milford Sound. Après quelques heures sur une route magnifique, et un passage par Queenstown où nous reviendrons bientôt, nous arrivons à Te Anau sous la pluie où nous faisons le bonheur d’un auto-stoppeur israélien qui n’en revient pas d’être pris à 17h. Nous entamons les deux dernières heures sur une route réputée majestueuse, hors de toute civilisation. Effectivement la beauté va crescendo, dans une large vallée cernée par les montagnes, alignant les lacs et les champs de plantes violettes et roses. Nous nous arrêtons tous les cinq kilomètres pour prendre une photo. Un tunnel long, sombre et descendant dans les profondeurs de la montagne, débouche finalement sur un panorama incroyable, une sorte de cirque en forte descente, formé par des montagnes rocheuses où dégouline l’eau de toutes parts, en petites et grosses cascades. La pluie qui tombe toujours, et les nuages qui obstruent partiellement le ciel, ajoutent au prestige du lieu.



Nous descendons dans cette ambiance mystérieuse et arrivons à Milford Sound, qui compte un bar-restaurant, un ou deux hôtels, et un port de tourisme. L’atmosphère est incroyablement humide, la pluie n’arrête pas de tomber. Il paraît qu’il en tombe sept mètres par an. Il faut juste espérer qu’elle s’interrompe pour le lendemain, puisque nous voulons faire la croisière sur le Milford Sound, un fjord très réputé. Nous passons la nuit sur un parking interdit, encore une fois, espérant ne pas être réveillés brutalement. Réveil au petit matin, pas de mauvaise surprise mais la pluie n’a pas arrêté une seule seconde de toute la nuit, légère mais parfaitement régulière. Le fjord est encombré d’une brume épaisse, nous sommes un peu dégoûtés. Tant pis, nous prenons quand même la première croisière pour profiter du meilleur prix, et sur un bateau pas trop grand.

Le bateau démarre, la brume se lève légèrement pour nous laisser deviner la grandeur et la magie des lieux, sans la dévoiler totalement. Les montagnes qui forment le fjord tombent à pic, sont soit rocheuses soit parfaitement vertes. L’eau dégringole de partout, en cascades énormes et petits filets d’eau, la brume persistante s’étale en longues bandes. Le bateau s’amuse à venir stationner exactement en-dessous de grosses cascades. Toutes nos photos se parent d’une ambiance mystérieuse, mais ça va un moment, on aimerait voir le fjord parfaitement ! Nous sortons du fjord et faisons un tour rapide dans l’embouchure vers la mer de Tasmanie, et repartons vers le port, en observant au passage les phoques sur l’unique rocher qui leur est accessible.



Vu le temps, pas d’intérêt à rester ici plus longtemps, nous reprenons la route vers Queenstown, avec de nombreuses pauses photo sur la route vers Te Anau, et une pause déjeuner au bord du lac extrêmement calme de Te Anau. Nous arrivons à Queenstown en fin d’après-midi, le 24 décembre. Le contraste est net avec le reste de South Island : la ville est bondée, riche, pleine de magasins et d’agences de tourisme, mais pas désagréable malgré cette sur-activité touristique. Queenstown est au bord d’un grand et beau lac bordé de montagnes, mais au lieu de baser son « message » touristique sur la nature environnante, elle mise tout sur l’adrénaline. C’est la capitale néo-zélandaise sinon mondiale des sensations fortes : skydive, bungee jump (saut à l’élastique), jetboat … Partout on ne voit que des affiches vantant ces activités très chères, on peut les réserver absolument partout (parfois même dans un commerce, hôtel ou cybercafé, qui jouxte l’entreprise concernée ; on s’étonne après que tout soit très cher, avec toutes les commissions qui se perdent).

Il faut chercher une place autorisée pour dormir, dans une ville aussi active ce n’est pas gagné, les amendes tombent sûrement facilement. Nous trouvons miraculeusement devant un terrain de rugby à deux pas du centre. Ce mini-parking sans panneaux d’interdiction est squatté par des campervans et des voitures louées par des jeunes en vadrouille et prêts à dormir n’importe où. Nous nous offrons un bon resto pour fêter Noël un petit peu, et tâtons de l’ambiance hystérique des bars remplis de jeunes occidentaux assoiffés, mais ils ferment tous à minuit.



Réveil sans surprise au bord du terrain de rugby, les voitures autour sont remplies de jeunes voyageurs qui dorment dans des positions improbables. Je vois même une jeune fille dormir dans son sac de couchage, cachée dans l’arbuste derrière le van. Heureusement je l’ai vue in extremis avant de me soulager …

Après un débarbouillage sanitaire dans les toilettes publiques du port de plaisance, je me laisse embarquer pour une activité ultra-touristique : un tour en jet-boat. Apparemment c’est une invention néo-zélandaise, un bateau à moteur particulièrement rapide, qui passe partout et donne des sensations fortes. Pendant une heure nous parcourons le lac et remontons deux rivières, à coup de rotations à 360°, frôlement de tous les obstacles (dont les piliers de pont, à quelques centimètres et à pleine vitesse … hallucinant et effrayant), naviguons dans des eaux profondes de dix centimètres, passons sous les arbres. Grosses sensations pour un réveil brumeux, je sors trempé du bateau, sous les rires de ma joviale voisine kiwi, qui m’a beaucoup parlé pendant le tour sans que je comprenne tout (l’accent néo-zélandais est parfois bien particulier, bien que proche du britannique). Pour le coup j’ai fait mon touriste, mais bon c’est Noël et presque tout est fermé. Presque tout, car la ville grouille de backpackers orphelins pour Noël.

Alors que revoilà … Gabriela. Je la retrouve pour la cinquième fois, cette fois-ci pas par hasard, nous avions prévu de converger à Queenstown pour Noël. Elle est accompagnée de Vani, une jeune indo-britannique très sympa, et nous lézardons pendant presque trois heures dans un resto thaï, à passer d’un sujet à un autre, surtout de voyage, de rythme et de façon de voyager, des moments de lassitude et de doute, de contact ou de l’absence de contact avec son entourage … Cela faisait longtemps que je n’avais pris mon temps à ne rien faire sinon discuter, que c’est bon de se poser un peu !



Histoire de rester dans l’inactivité volontaire et salutaire, je me contente d’une marche le long du lac, longeant d’abord les groupes de backpackers-orphelins-de-Noël qui barbecutent et picolent sur les pelouses, et je pousse jusqu’à une petite crique d’où émergent quatre plongeurs. Le soir je retrouve Gabriela et Iñigo pour un resto indien qui arrache, une petite glace chez Patagonia (histoire de se croire encore un peu en Argentine), et une fin de soirée dans un bar à saké, le seul ouvert en ce 25 décembre, avec Vani qui nous a rejoints.

Le lendemain, je vais d’un pas décidé, bien qu’un peu rafraîchi par le prix, m’inscrire pour un nouveau skydive, un saut en chute libre. Le premier à Cordoba me laisse encore des souvenirs énormes, et ici il est possible de sauter de beaucoup plus haut, avec une chute libre de 60 secondes qui me laisse déjà rêveur … Pas de chance, le ciel est nuageux, c’est annulé, et déjà complet pour le lendemain. D’ailleurs il se met rapidement à pleuvoir, c’est parti pour une journée glandouilleuse et utilitaire : après une douche frauduleuse mais tellement bonne dans un hôtel backpackers, et un peu de wifi gratuit chez Patagonia, je me délaisse d’un fardeau en faisant un tour chez le coiffeur (après cinq mois sans couper, ça commençait à devenir long mais ça ne ressemblait à rien), et m’offre un semblant de ceviche dans un resto sur le port, pour ne pas perdre le goût de mon plat préféré dans toute l’Amérique du Sud.

Le soir je retrouve Iñigo et Gabriela, qui cette fois nous a dégoté un britannique mâle pour compléter la table. Nous poursuivons dans un bar jeune et agité, qui me motive très peu. Je retourne donc dormir dans le van, cette fois garé dans une rue en pente, Iñigo s’étant fait déloger le matin de notre beau petit parking quand j’étais parti.

Le lendemain nous avons prévu de quitter Queenstown, mais Iñigo veut absolument tenter le skydive qu’il a raté la veille. Faute de pouvoir m’inscrire, je me rabats sur un saut à l’élastique monstrueux. J’avais fait mon premier en Equateur, mais un peu court, et je m’étais promis de me refaire une vraie grosse frayeur. Une vraie grosse …
L’entreprise Nevis a été fondée par AJ Hackett, le pionnier du saut à l’élastique, le pont qui a servi de première est d’ailleurs non loin de là, toujours utilisé pour des petits sauts. C’est impressionnant d’efficacité, un grand hall avec des jeunes filles tout sourire, prêtes à nous alléger de nos dollars, des écrans partout. Le bus nous emmène, moi et quelques singapouriens et allemandes qui font leur premier saut. Le chauffeur a l’air d’un original mal fringué, mais là encore tout est pensé : il nous lâche quelques bonnes blagues et lance une chanson country ringarde mais appropriée : « Help me, I’m falling ».

Une demie-heure de route vers un site spécial, privé, au milieu des montagnes, et nous découvrons l’objet de notre supplice : une station accrochée à des cables tendus au-dessus d'un canyon, des petites cabines pour s’y rendre, et là encore un bâtiment spécialement bâti pour organiser tout cela. Redoutable. Dans le canyon d’à-côté on peut voir le Nevis Arc, là-aussi une station futuristique pendue au-dessus du vide, prévue pour un saut à mi-chemin entre le saut à l’élastique et la balançoire géante. Nous nous équipons de nos harnais, on m’annonce que je serai le premier à sauter, super, et partons vers la station à bord des petites cabines, où nous attend une petite équipe.



Pas de temps à perdre pour eux, ils font sauter des dizaines des personnes tous les jours. On nous pose les énormes scratchs aux pieds, et on me prie gentiment de m’avancer pour le vif du sujet : assis sur un fauteuil comme chez le dentiste, on m’harnache encore deux fois plus, on me fait sourire pour la photo, et on me fait lever pour que j’avance vers le sautoir, à coup de minuscules pas puisque j’ai les pieds solidement attachés. L’impression de me présenter devant un bourreau … et effectivement je vois le vide sous mes pieds, c’est à donner le vertige à un pilote. 134 mètres sous moi il y a la rivière et les rochers. Malgré la confiance totale accordée à l’élastique, je me demande comment je vais supporter la chute sans lâcher toutes mes tripes. On ne me laisse pas trop le temps de gamberger, on me rappelle de faire un vrai beau plongeon, 3 2 1, gooo, jump ! 134 mètres et presque 8 secondes de chute libre, une éternité.



Malgré l’ivresse de la chute, je me demande quand l’élastique va enfin faire son job et me remonter, parce que la rivière se rapproche vraiment vite. Y a qu’à demander, je suis retenu sans ambiguité mais sans mauvais choc, pour entamer une partie de yoyo dans ce décor rocheux, et je suis remonté vers la station. Tout le monde saute à la suite, ça enchaîne. Retour au bâtiment, où les photos et vidéos sont déjà disponibles sur de grands écrans plats, il suffit de savoir utiliser son doigt sur l’écran pour se voir facturer un beau petit supplément. Entreprise redoutable …

Retour à Queenstown, je retrouve Iñigo qui n’a toujours pas pu sauter à cause du temps, et nous mettons le contact vers la prochaine étape, le Mount Cook, avec un petit détour par Arrowtown, ville historique qui paraît sortie du Far West, bien qu’un peu trop pimpante et commerciale. Dans la brocante, je trouve même du fromage local inspiré de fromages français et européens. Très honnête si j'oublie nos standards ... après six mois de privation je ne résiste pas.

Petite halte supplémentaire pour regarder les sauts à l’élastiques sur le pont historique. 43 mètres seulement mais une option pour plonger la tête dans l’eau, c’est tentant pour une prochaine …

En route enfin vers le Mount Cook, à travers un paysage qui change rapidement, d’abord les canyons proches du lieu de mon saut, puis la plaine, puis à nouveau les montagnes et le magnifique lac Pukaki, qui précède le massif du Mt Cook. C’est le sommet culminant de la NZ, à plus de 3700 mètres, et c’était le lieu de retour aux source pour Sir Edmund Hillary, le premier alpiniste à gravir l’Everest. Le lac laisse la place à une grande plaine encadrée par des montagnes de plus en plus hautes. On devine l’ancienne présence d’un glacier entre chacune d’entre elles, mais tout a fondu. J’ai vu des photos aériennes du coin, prises en hiver, qui confirment mon impression depuis le début : ce pays est sûrement encore plus beau l’hiver, avec tous ses sommets enneigés.



Nous apercevons le Mount Cook, coiffé d’un magnifique glacier, et les pics voisins, encore bien blancs. Petite visite à l’Hermitage, le bâtiment historique du petit village Aotaki. Il avait brûlé entièrement dans les années 50, c’est maintenant un bâtiment moderne. Nous visitons le petit musée essentiellement consacré aux bravoures de Sir Edmund Hillary, et nous nous inscrivons pour une petite séance d’astronomie le soir-même, prometteuse avec le temps magnifique. A l’heure dite, le ciel se remplit de gros nuages, c’est annulé. C'est pas plus mal, on a un peu l’impression d’échapper à une arnaque, vu la taille des télescopes.

Nuit courte sur le parking rempli de campervans, au pied des chemins de randonnée, et nous partons pour un trek gentil, rempli de familles, vers le lac gris au pied du glacier du Mt Cook. Trek vraiment gentillet donc, mais décor magnifique. Les glaciers blancs, la verdure, le lac gris, les rochers bruns …



Après une douche gelée mais impérative, nous reprenons la route vers Lake Tekapo, avec de nombreux arrêts photos au bord du lac, pour capturer le Mt Cook sous tous ses angles, avec toutes ses variantes. Nous arrivons à Lake Tekapo, qui tient toutes ses promesses par son eau turquoise. Un tour à l’église du Bon Pasteur, une belle petite chapelle au bord du lac (quoiqu’un peu survendue par les locaux), un tour utilitaire pour renouveler tous les fluides du van, un tour inutile sur un chemin interminable pour trouver un supposé camping gratuit, et nous allons nous délasser dans la piscine thermale. Pourquoi ici en NZ elles sont toujours limitées à 40°C ? C’est pas assez !!

Petite nuit tranquille au bord du lac. Le lendemain est notre dernier jour avec le van, nous devons le rendre en début d’après-midi à Christchurch. Avant de prendre la route nous montons prendre le petit déj’ à l’observatoire St John, planté au sommet d’un mont qui domine la ville et le lac, et surtout doté de trois gros télescopes. La vue est incroyable à 360°C : deux lacs, les montagnes, une grande plaine jaune bordée au fond par la chaîne montagneuse voisine du Mt Cook, la petite ville qui se niche dans les pins. Juste splendide, on pourrait y rester des heures, mais il faut reprendre la route pour Christchurch.



C'est la fin de deux semaines d’itinérance rapide. Trop rapide pour moi, mais nous n’avions pas le choix. Ce road-trip nous aura permis de voir les plus beaux sites de South Island, mais sans bien cerner l’âme de la NZ. Il me reste deux semaines pour me rattraper … et retrouver ma liberté, vite !

Et à part ça, quoi de neuf à l'est ?
A l'est, l’Amérique du Sud me manque.

You guys take care and read me soon !
(and write down a comment, come on, don’t be shy !!)
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12 commentaires:

  1. ben surtout une bonne année à toi!
    Pas de viande excellente chez les kiwis? je croyais qu'ils étaient aussi très réputés pour leurs steaks et moutons...

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  2. C'etait quoi comme fromage? Il était bon?

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  3. Tu nous parele des kiwi mais as tu vu des maori ?
    Antoine demande a propos du rugby ?
    Bonne année a toi en attendant de lire la suite

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  4. @Fred :
    Bonne année à toi !
    Oui ils ont beaucoup d'agneau. Plus de moutons que d'habitants, comme on dit toujours ...
    @ +

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  5. @Philou :
    Du brie et du bleu. En France ca se vendrait pas trop bien, mais ici les standards ne sont pas les mêmes. J'ai baissé les miens aussi, forcé, et j'ai aimé !
    @ +

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  6. @Fluck :
    hey, 57 en force ce matin !
    Les maoris, je n'en vois quasiment pas : peu nombreux, et concentrés dans 2-3 patelins de North Island. Mais le tourisme ne se prive pas de nous étaler l'histoire, la culture ... mouais.
    Le rugby ! merde j'ai oublié de regarder s'il y avait un match à Christchurch, j'ai peur que ce soit l'inter-saison.
    Bon anniversaire à Antoine !
    @ +

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  7. Je m'en vais remettre une 'tite bafouille pour te montrer mon assiduité sans faille de ce world trip captivant.
    Et je me rends compte quand même qu'on nous envoie un texte du 24/12 le 05 janvier !... Fais gaffe Nico, tout retard pris peut devenir fatal !
    Tout cela reste excellent à lire. Bises. François (tu n'en connais qu'un, non ?)

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  8. Avec tes nombreuses expériences de saut à l'élastique, tu dois pouvoir me répondre à cette question :
    Le saut à l'élastique , c'est bon pour :
    1) le moral
    2) Les tassements de vertebre
    3)Les digestions difficiles de lendemain de fête
    4) les pantalons trop serrés à la taille
    5)pour soulager le portefeuille
    6) en hemisphere sud , se remettre dans le sens de l'hemisphere nord
    7) faire tenir ses cheveux en brosse
    8) ou quoi ?

    Allez, bonne continuation et Take care

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  9. @Francois :
    comme c'est touchant, tu voudrais etre le seul Francois ! ;-D
    Non j'en connais d'autres mais tu es le seul a commenter mon blog, tu peux pousser un ouf de soulagement ...
    Pour ce qui est du retard, ca a deja ete largement pire, en fait je ne suis PAS en retard !
    merci & @ +

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  10. @Dad :
    c'est bon pour soulager le portefeuille, tres efficace meme ... et pour flipper un bon coup au moment de sauter. La video arrive.
    merci & @ +

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  11. toujours aussi plaisant à lire ...
    Bonne année....et attendons la prochaine vidéo!!
    Bisous
    Stéph & Nico

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  12. @Steph et Nico :
    hey bonne année à vous 2 aussi ! justement je pensais à vous récemment et je voulais vous envoyer un petit mot.
    Y a des vidéos à venir, bourrées d'adrénaline, mais lourdes à charger !
    J'espère que tout roule pour vous !
    bizzz
    P.S : comment vont mes fauteuils ? confortables ?

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