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vendredi 1 janvier 2010

On the road across NZ

Un bout de voyage original commence : Iñigo et moi avons réservé un campervan pour sillonner la Nouvelle-Zélande en toute liberté, et prendre un peu de champ avec les hôtels pour backpackers qui deviennent sérieusement lassants (et celui d'Auckland m'a sérieusement énervé).

Une fois les formalités remplies, la note payée (rhaaa, ça fait mal …), et le petit topo explicatif sur le fonctionnement du van plus ou moins enregistré (« yeah … yeah… yeah …. yeah … »), il faut décider qui va conduire en premier. Aucun de nous deux n’a déjà conduit à gauche, et encore moins avec le volant à droite, sans compter qu’il faut s’approprier les dimensions de notre mini-maison roulante.

OK je m’y colle. J’aurais peut-être dû prendre mes repères avant de démarrer et sortir du parking … Vingt minutes de pur stress, à penser très fort « je reste à gauche, je reste à gauche », à réfléchir encore plus fort quand il s’agit de tourner (là on ne sait plus vraiment où on est, perdu dans l’espace), à faire marcher malencontreusement les essuie-glace quand on veut utiliser le clignotant, à se cogner la main droite contre la portière en voulant passer ses vitesses. En ligne droite sans trop de trafic, tout va bien, mais quand arrive un carrefour, un rond-point, ou qu’il faut prendre une décision rapide (parce qu’en plus nous cherchons notre direction), là le cerveau crie au secours et tout s’embrouille. Heureusement en cette fin d’après-midi le trafic est léger autour de l’aéroport d’Auckland, et on s’arrête vite dans un supermarché, ce qui me permet de digérer ce premier kilomètre et faire le point sur le passage de vitesse.

On reprend la route et on s’éloigne d’Auckland, direction le sud. Malheureusement nous n’avons le van que pour deux semaines, parce que les vacances d’été commencent, et que le mois de janvier est déjà sur-réservé. Finalement on se fait vite à la conduite à gauche (si j’oublie les passages de vitesse un peu rustres), le cerveau inverse tout rapidement. Reste à prendre les mesures du van, j’ai probablement taillé la haie à gauche de la route sur plusieurs kilomètres …

Au bout de trois heures de route, petit arrêt à Hamilton pour dîner et rencontrer Julia, une néo-zélandaise qu’Iñigo connaissait par mail interposé. Elle propose de nous offrir le resto parce que nous avons un budget de voyageurs, alors qu’elle n’a pas mangé et qu’elle nous connaît depuis une heure. Si l’hospitalité des kiwis est toujours à ce niveau, ça s’annonce très bien.

Encore de nombreux kilomètres au crépuscule à travers la campagne de North Island, belle mais pas encore franchement impressionnante, et nous nous arrêtons à Rotorua. Premier baptême du feu pour nous : trouver un endroit autorisé pour les vans, sûr, près de toilettes publiques, en évitant les camping-parks qui alourdiraient une note déjà lourde. On trouve tant bien que mal au bord d’un lac, et on aborde le deuxième baptême du feu pour la transformation de l’intérieur et l’installation des lits … ah non il n’y a qu’un seul grand lit, bon ben … on restera bien chacun de son côté, hein ?



Le premier réveil livre sa première bonne surprise : le lac est magnifique, un hydravion fait des ronds dans l’eau, un hélicoptère se pose sur un ponton, un bateau à aube façon Mississipi accoste à son tour. Petit coin magnifique, si je veux bien oublier les mouettes qui m’attaquent sur le chemin de promenade, et bizarrement il n’y a qu’un seul campervan à côté du nôtre, dans un coin aussi joli et réputé, c’est étonnant. Nous faisons un tour en ville pour chercher vainement des douches publiques et acheter le matériel pour charger tout notre équipement : batteries d’appareil photo, PC …

Nous décidons de reprendre la route, parce que le magnifique trek alentour se fait sur plusieurs jours et que la priorité est l’île du sud. Iñigo prend son tour de stress pour apprendre la conduite à gauche et nous entamons six heures de route à travers la campagne, les prairies, les montagnes, les arbres variés et omniprésents. Nous arrivons le soir à Wellington, capitale de la NZ, pour prendre le ferry le lendemain. Nous trouvons un vulgaire parking payant devant le port de plaisance, juste à côté d’un grand concert familial de Noël. Une belle scène en plein air, avec toute la logistique d’un grand concert de rock, mais avec un public d’enfants et leurs parents, et plein d’ados qui n’hésitent pas à porter des chapeaux de Père Noël. Nous faisons un tour rapide de Wellington, cherchons difficilement un vrai bar où les gens ne mangent pas (on nous confirme que ça n’existe quasiment pas, curiosité locale), et direction le van pour dormir sur le parking. Levés tôt, on fonce vers le port pour monter dans le ferry, pour une traversée de trois heures qui nous emmène vers South Island, qui promet le meilleur de la Nouvelle-Zélande.

Alors que revoilà … Gabriela, sur le même ferry ! Cette fois-ci c’est le hasard, elle a choisi de faire le tour de la NZ en bus, et je ne pensais pas que son itinéraire coïnciderait avec le nôtre. La traversée est magnifique, surtout lorsque le ferry entre dans le fjord qui nous mène au petit port de Picton. Les montagnes qui constituent le fjord sont vertes, tapissées de sapins, l’eau est claire, on voit quelques maisons isolées dans des petites criques, un vrai petit paradis.



Nous quittons Gabriela en sachant que nous la reverrons au moins à Noël, et débarquons à Picton. Surprise, c’est une toute petite ville, très calme, bien que ce soit le point de passage obligé entre les deux îles. Le terminal des ferries, un petit port de plaisance, un hydravion qui se fait un chemin entre les mâts des voiliers pour amerrir. Et dans le reste de la ville, le calme plat. Nous prenons une route sinueuse et magnifique qui va de plage en plage, de crique en crique. Jusqu’à Nelson, ville côtière, où nous cherchons en vain une adresse fantôme, celle d’un garagiste qui voudra bien réparer notre problème électrique. Comme tous les jours, l’heure passe vite, il fait déjà noir quand nous cherchons un emplacement pour dormir. Et comme tous les soirs, devant nos phares s’étale un océan de panneaux interdisant le camping et le simple parking nocturne. A force de tourner on croise d’autres vans qui cherchent comme nous, et on finit par trouver un endroit correct, pas trop isolé pour la sécurité et avec une belle vue. S’ils n’ont pas mis de panneaux « No overnight stay », c’est qu’on a le droit, hein qu’on a le droit ? Bon on va raisonner comme ça et on verra demain matin. Branle-bas de combat pour cuisiner, manger, déplacer à peu près la moitié du contenu du van, faire le lit …
Pas de mauvaise surprise au lever, pas de petit papier sur le pare-brise et on ne nous a pas réveillés à grands coups de poing sur la tôle.

Après une matinée consacrée aux courses et à la réparation électrique offerte par un allemand installé ici, nous reprenons la route et faisons un arrêt à Rabbit Island. Plage immense, précédée de dunes et de pins. Quelques familles qui pique-niquent et se baignent dans l’eau tiède, mais c’est tellement immense qu’on se sent presque seuls.



Nous reprenons la route vers Kaiteriteri, mini-paradis en bordure du Parc National Abel Tasman. Encore une fois c’est tout petit, un hôtel, un restaurant et un camping, et quelques chalets pour les agences de tourisme. Le temps de prendre quelques photos et de réserver l’aquataxi qui nous emmènera dans le parc le lendemain, nous poursuivons vers Marahau, la deuxième petite station balnéaire en bordure du parc. Ici aussi, une absence apparente de vraie vie avec des vraies maisons et des vraies gens. Quelques petits hôtels très charmants, un camping, un restaurant tenu par un tchèque où nous cherchons la énième confirmation que la bière locale est très bonne (il faut toujours confirmer ce genre d’informations, on ne sait jamais). Et à 22h, les papilles maltées et l’estomac vide, la perpétuelle tergiversation reprend le dessus : est-ce que l’on brave les interdits comme les deux ou trois vans sur le parking public d’à côté ? Nous faisons les malins en restant sur le parking du restaurant, espérant que le patron tchèque ne nous virera pas mais doutant aussi de nos arguments. Nous cuisinons et dînons à moitié dans le noir, cette fois c’est la lumière à l’arrière et la pompe qui nous lâchent. Pas de mauvaise surprise le matin, la gagne est avec nous !

Nous montons dans l’aquataxi qui va nous emmener au cœur du parc Abel Tasman. C’est l’un des parcs les plus réputés de la NZ, en bordure de la mer de Tasmanie. Après quarante bonnes minutes de bateau, à admirer les criques, les petites plages paradisiaques et la végétation luxuriante qui les surmonte, à admirer les phoques qui se délassent et la tâche de sang qui atteste d’une naissance pendant la nuit, nous débarquons enfin sur Tonga Bay, et entamons une marche splendide en aplomb de la mer, au milieu des arbres.

L’appareil photo chauffe, l’environnement est magique. Dans chaque baie que nous traversons, il y a le choix entre le chemin à marée basse et celui à marée haute. Pas de chance c’est marée haute, nous prenons des détours d’au moins trente minutes chacun. C’est beau mais il y a encore du chemin jusqu’à la dernière plage où le bateau nous récupérera. Passage par Bark Bay, puis Torrent Bay qui est en fait une plage privée, plantée par quelques belles maisons. Le gouvernement avait vendu un bout de terre avant de déclarer les lieux comme Parc National. Les heureux élus qui ont pu acheter un lot et y construire leur résidence de secondaire ont un privilège sans équivalent. On en voit certains débarquer leurs bagages de leur bateau tout juste amarré au pont. Le passage des marcheurs est toléré, à condition de suivre un chemin bien précis. On s’imagine bien passer une ou deux semaines ici, avec un kayak et une pile de bouquins …



Nous arrivons finalement à Anchorage, où mouillent quelques voiliers et un bateau pour backpackers (si si, comme une auberge de jeunesse flottante, toujours l’efficacité touristique néo-zélandaise). La plage est longue et arrondie, l’eau presque turquoise, et le contraste avec les gros nuages gris qui menacent est magnifique. C'est l’image paradisiaque que l’on se fait habituellement des petites îles du Pacifique, mais pas spécialement de la NZ. Le bateau nous reprend et nous ramène à Marahau, les tracteurs nous attendent dans l’eau, et notre bateau vient se poser directement sur la remorque de l’un d’eux, au moteur !

Comme nous n’avons plus du tout d’électricité à bord du van, nous décidons de passer une nuit dans un camping, histoire de se brancher, recharger toutes les batteries, avoir une douche chaude (ouuuh c’est bon), laver les fringues, et dormir l’esprit tranquille sans crainte d’être délogé au réveil. Le camping est énorme mais très vert, avec toutes sortes d’emplacement très espacés … et à vendre pour 7 millions de dollars NZ. Je passerai sur cette opportunité de reconversion, malgré mon admiration pour le gros lama dans une pâture (?!). Parce qu’en plus d’avoir un léger problème financier, je me demande encore quelle genre de vie mènent les gens que l’ont voit travailler dans les différents restaurants, hôtels et campings.

Après cette nuit de confort (toute relative, on était toujours à deux dans le grand lit au fond du van, à rester bien proches de nos tôles respectives, et à tirer sur la couette qui elle aurait préféré qu’on se rapproche), nous reprenons la route à travers champs, passant devant de petites fermes mignonnes. Un ultime arrêt à Greymouth dans un petit garage local tenu par un vieux ronchon qui aboie sur ses jeunes employés dans un accent à couper au couteau (« Tim, la clé de 12 !! »), mais qui résout efficacement notre problème de batterie. Et le paysage change rapidement, les montagnes grandissent, la végétation se fait à nouveau généreuse, les vues spectaculaires de plus en plus nombreuses. En de nombreux endroits la Nouvelle-Zélande, est un tapis ultra-dense d’arbres et surtout de sapins. Nous approchons de la côte, l’atmosphère se fait plus tropicale, et soudain la surprise : nous voyons la mer de Tasmanie très agitée, devant une côte spectaculaire faite de montagnes raides et vertes, de rochers déchiquetés, et le tout baignant dans une lumière de fin de journée ahurissante et voilée par l’humidité ambiante. Pour la première fois en NZ, je dis « WOOOOW » !



Et je pense immédiatement au film « La leçon de piano », chef d’œuvre absolu tourné dans un décor parfaitement semblable. Avant d’arriver en NZ, quelqu’un m’avait dit que cette fameuse plage s'y trouvait, mais je n’y pensais plus et je n’ai pas cherché son nom et son emplacement. Un vague souvenir me laisse craindre qu’elle soit sur North Island, et pourtant je crois la tenir là, devant mes yeux. Voilà un type de paysage proprement fascinant !! A Punakaiki, nous buvons une bière dans le bar d’un hôtel chic, face à la mer déchaînée, et j’essaie d’obtenir l’information du jeune barman. Je lui parle de ce grand film sorti il y a une quinzaine d’années et palme d’or à Cannes, mais lui se demande pourquoi je ne lui parle pas du Seigneur des Anneaux, film pop-corn qui m’en touche une sans faire bouger l’autre. Trop jeune, il ne sait pas. Je demanderai en vain à plusieurs personnes, avant que le couperet ne tombe : la plage se trouvait sur North Island, près d’Auckland. Je suis déçu de l’avoir ratée, mais j’en ai vu une quasiment identique.

Nuit venteuse sur un parking face à la mer, réveil forcément magique dans ce paradis. La végétation exotique nous apparaît différemment, maintenant éclairée par un soleil éblouissant. Deux heures de marche le long de la rivière, vers l’intérieur des terres, dans l’humidité tropicale. Puis une longue balade sur la plage, histoire de bien s’imprégner de cette magie, devant les rouleaux puissants qui s’écrasent inlassablement. Et à l’heure idéale, celle de la marée haute, nous visitons le clou du spectacle local, les Pancake Rocks. Ils doivent leur nom à leur forme toute en tranches, mais ils sont réellement spectaculaires parce que la mer vient s’engouffrer dans des espaces quasi-clos, avec une violence dingue. L’afflux d’eau est tellement démesuré par rapport aux espaces exigus que laissent les rochers, que de l’eau s’échappe verticalement par des cheminées, tels des jets de vapeur très bruyants. On pourrait rester des heures à admirer, et chercher la photo parfaite au moment où les vagues se fracassent.



Nous reprenons la route, quelque temps au milieu de ce paysage indescriptible, puis nous enfonçons à nouveau dans les terres. Une petite surprise lorsque nous nous retrouvons sur un pont métallique … derrière un train. Difficile de savoir si c’est une question d’économies, mais les ponts ont quasiment toujours une seule voie, avec cession de priorité d’un côté. Et là non seulement on partage l’unique voie avec les voitures arrivant en sens inverse, mais aussi avec un train de marchandises. Ah enfin un peu de pittoresque dans ce pays moderne !

Après avoir fait le bonheur d’une jeune auto-stoppeuse-baroudeuse allemande, aux joues très rouges et au courage non moins remarquable, nous arrivons à Franz Josef, petite ville très touristique, encore une, dévolue au grand glacier Franz Josef à quelques kilomètres de là. Par la fatigue qui s’ensuit de notre rythme, j’en oublie presque que c’est mon anniversaire, tout juste fêté par un petit resto.

Le matin donc, chaussage des godasses de rando pour conquérir le grand glacier. Parmi les différentes possibilités, nous choisissons le sentier qui ira le plus loin et le plus haut. Résultat, il faut marcher cinq heures aller-retour sans voir le glacier, mais sur un sentier magnifique, très humide. Et la vue imprenable tant attendue s’offre à l’ultime seconde de marche, sous le défilé des hélicoptères qui le survolent et même se posent dessus, en plein milieu. Un oiseau superbe et un peu particulier, à mi-chemin entre un rapace et un perroquet, vole dans les buissons autour et hésite à s’approcher.



Nous redescendons par le même chemin trempé et glissant, et je consacre une partie de mon après-midi dans les eaux très chaudes de la piscine thermale, surtout pour profiter de la douche et me sentir à nouveau civilisé. Nous partons tard de Franz Josef vers le prochain objectif, Wanaka. Nous roulons pendant près de cinq heures, le nombre de voitures que nous croisons se compte sur les doigts d’une main. Mais où sont les néo-zélandais ? Pourtant ils sont en vacances et devraient se déplacer. On ne voit pas beaucoup de touristes sur les routes non plus, un campervan de temps en temps. Nous arrivons à Wanaka … dans le prochain article !

Write to you guys later !
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8 commentaires:

  1. BONNE ANNEE mon ours polaire adoré.
    Je te souhaite que ton voyage se poursuive aussi bien qu'en 2009. Plein de paysages, plein de rencontres....et plein de cartes postales (ça fait longtemps que tu ne m'en as pas envoyées)
    Gros bisous tout doux mon iguane chouchou

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  2. @Héloïse :
    salut ma crevette ! tu es la première à me laisser un commentaire en 2010, c'est une année qui commence donc très bien !
    Pour la carte, eh bien il faut être patiente (je crois que le facteur est plus lent que le Père Noël ... comment ça il existe pas le Père Noël ?!?)
    Gros bisous ma crevette !

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  3. Hello frangin !
    je vais éviter de dire la même chose que pour tous les autres articles, alors bonne continuation dans toutes tes futures aventures ! Je te souhaite une belle année 2010. À bientôt.

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  4. @Rom':
    merci frangin, bonne année à toi aussi. Je me souviens plus, y a un truc spécial pour toi en 2010 ?
    @ +

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  5. Salut Nico, bonne année 2010 ! profite bien de ta deuxième partie de voyage ! Vianney

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  6. @Vianney :
    Merci, bonne année à toi aussi ! Et ouais, la seconde partie, déjà ...
    @ +

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  7. marie-laure de l'ucpa-micropur j'assure23 janvier 2010 à 20:59

    J'ai enfin un peu de temps pour dévorer tes histoires du bout du monde. Je suis épatée car c'est très agréable à lire. Tu écris drôlement bien, c'est stylé! je te raconte madère par mail... (j'y retourne car je veux savoir l'histoire de ta partner inernet) à bientôt marie-laure

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  8. Hello copine-micropur !
    Ben merci pour le compliment, c'est ce qui m'encourage à écrire parce que ça me bouffe un temps monstrueux de faire ce blog : écrire, mettre en page, tier-renommer-traiter-charger les photos ...
    Pour ma partner Internet, tu n'auras aucun détail sur le blog, on s'est quitté au bout de 2 semaines 1/2
    Bilan : je veux voyager seul, c'est la vraie façon de voyager !!!
    Bizzz

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