Je suis reparti en Argentine ! Bientôt le nouveau blog ...
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samedi 23 janvier 2010

Gratte-ciels, surf et opéra … special mix made in Sydney !

Je quitte mon hôtel douillet de Christchurch en voiture de location, peinard, pour rejoindre l’aéroport. C’est clairement le transfert le plus cool de mon voyage ! Je croise un couple italo-britannique que j’avais rencontré à Kaikoura, les pauvres enchaînent trois vols pour rentrer à Londres.

Je laisse une grande nation du rugby pour une autre, leur grand concurrent, toujours dans le Pacifique mais un poil plus à l’ouest, encore un pays qui en fait rêver beaucoup. J’ai nommé l’Australie, et Sydney pour bien commencer.

Le vol est tranquille, à côté d’un très vieux britannique qui n’a plus que la peau sur les os, mais qui voyage encore sans problème à 80 ans, seul. Je tiens le pari que je serai encore piquouzé au voyage au même âge ? L’arrivée est spectaculaire, nous survolons Sydney et son fameux pont. Comme je connais trop mal la configuration de la ville et que l’avion va trop vite, je rate l’Opéra. Perd rien pour attendre lui …



Le temps de trouver ma navette gratuite promise par l’hôtel, j’arrive dans le quartier King’s Cross en début de soirée, et suis un peu pris à froid par mes premières heures : le quartier est plein de néons criards, à cinq mètres de la porte de mon hôtel une créature blafarde joue du sac à main et du chewing gum (en rythme), la façade de mon hôtel n’est pas reluisante. Pour confirmer cette mauvaise impression, mon hôtel est repoussant à l’intérieur, je crois être tombé dans un hôtel de passe. On me donne un lit dans un grand dortoir vide au dernier étage, soi-disant « ensuite » (en anglais dans le texte) parce qu’il y a la salle de bains avec, mais la moquette est noire de tâches, le matelas à peine mieux, et une odeur de logement défraîchi règne. La cuisine est immonde, je n’ose pas stocker la moindre nourriture dans le frigo. Pas le temps d’en chercher un autre tout de suite, mais je ne paie que la première nuit pour pouvoir décamper dès le lendemain. Je suis plus ou moins rassuré en voyant que l’hôtel est peuplé de backpackers normaux, contredisant ainsi l’hypothèse de l’hôtel de passe. Le prix est faible, je ne m’attendais pas à un super hôtel, mais je tombe quand même de haut.

Pas trop le temps pour mes états d’âme, je suis attendu dans le centre à plus de 20 minutes de marche, je dois retirer de l’argent dans une banque en particulier, il se met à pleuvoir assez fort, et la nuit tombe. Après un coup d’œil rapide à la carte, je traverse donc Sydney à la hâte sous la pluie battante, dans le noir. A deux carrefours consécutifs je vois des chauves-souris au-dessus de ma tête, volant rapidement entre les grandes tours sombres. Quand je te disais que mes premières heures à Sydney m’avaient pris à froid …

Alors que revoilà … Gabriela ! Tout ne peut pas être négatif. Pour la énième fois depuis Valparaiso au Chili, je la retrouve à mon arrivée dans un nouveau pays. Elle est à Sydney depuis trois jours et s’en va dès demain pour l’Asie. A vrai dire je réfléchis moi aussi à écourter mon séjour en Australie et filer rapidement en Asie. Bien que j’aie adoré mes derniers jours en Nouvelle-Zélande, et que j'aie été déçu de la quitter, le voyage trop facile (et trop cher !) en milieu occidental et riche commence à m’ennuyer. J’ai envie d’une découverte culturelle beaucoup plus forte, envie d’avoir les yeux écarquillés quasiment tous les jours comme en Amérique du Sud. Ces deux pays riches s’intègrent moyennement bien dans ce long voyage, alors que j’ai rêvé de les visiter depuis longtemps.

Après mûre réflexion je vais passer au moins trois semaines et voir comment je me sens en Australie. En attendant je profite de cette seule soirée et Gabriela peut me faire un rapide topo de ce qu’il y a à voir et à faire (encore une fois j’arrive sans rien savoir, c’est à la fois une méthode de voyage et un manque de temps pour préparer quoi que ce soit).

Je quitte Gabriela, à moitié sûr de la recroiser en Asie, et m’offre une marche nocturne un peu plus cool pour rentrer à l’hôtel, l’orage enfin passé. Je remonte George Street, la rue centrale pleine de commerces et de grandes tours, traverse Hyde Park par William Street, et arrive dans King’s Cross pour halluciner encore une fois : le quartier commençait juste à se réveiller vers 19h, il est maintenant minuit et le quartier est carrément chaud, les tourneuses de sac à main sont là tous les 50 mètres, c’est noir de monde (surtout des backpackers, ça rassure), deux ou trois épaves imbibées traînent par terre, et je suis abordé d’une façon assez directive par un maquereau parce que j’ai eu le malheur de croiser le regard de sa « protégée ». Le genre de rue qui donne honte d’être occidental, même si l’occident n’a pas le monopole des lieux décadents. A propos d’occident, je ne trouve pas mieux que le Mac Do, face à mon hôtel, pour profiter du wifi. Le Mac Do est plein malgré l’heure, forcément.

Pour l’anecdote tu sais quel est le petit surnom de Mac Donald’s en Australie ? Macca’s. Et tant qu’on y est, souvenir d’un ancien voyage, en Russie ? Mac Dak. C’est fantastique ce qu’on apprend en voyage, tu ne trouves pas ?

Je finis par regagner ma chambre, il y fait chaud et moite, l’odeur est toujours là. Heureusement les draps sont propres, ils feront tampons avec le matelas. Je dors tant bien que mal et décampe rapidement avant 10h le matin, l’heure de check-out. Je perds la petite caution payée à la réservation mais tant pis, impossible de rester. King’s Cross est le quartier où se massent quasiment tous les hôtels pour backpackers, je n’ai donc pas loin à aller pour trouver un des plus réputés, beaucoup plus cher forcément, dans une rue perpendiculaire mais parfaitement calme. Darlinghurst Road cumule à peu près toute la décadence de cette ville, mais toutes les rues adjacentes sont tranquilles et propres.

Je m’installe donc chez Eva’s Backpackers et respire de soulagement en voyant la cuisine, les gens qui y sont, les dortoirs et les salles de bains pimpantes. Je me rends vite compte que l’hôtel est blindé d’allemands, on m’avait prévenu qu’il y en a encore plus en Australie qu’en Nouvelle-Zélande. Mais aussi blindé de français, ça je savais moins et c’est assez sidérant. A peu près tous ces voyageurs sont très jeunes et ont un visa Working Holidays, ils sont là pour plusieurs mois et veulent commencer par trouver une colocation et un boulot. Je rencontre vite Rémy et Xavier, des savoyards, et Nicolas et Chloé, parisiens. Par hasard nous sommes tous dans le même dortoir, avec des allemands forcément et un être non-identifié qui ne dit pas un mot à personne et reste tous les jours dans son lit, à la lumière électrique et dans la chaleur ambiante, à lire Stephen King en écoutant de la musique. J’aurais dû ajouter une ligne « cas spéciaux rencontrés dans les backpackers » dans mes statistiques débiles.

Je pars pour une première balade en ville, en remontant Hyde Park et en traversant le quartier d’affaires au milieu des gratte-ciels. J’arrive au quartier The Rocks, le quartier historique de Sydney assez pittoresque avec ses vieilles maisons, et je tombe vite sur un des deux attraits majeurs de la ville, le Harbour Bridge. C’est le pont qui relie le centre à North Sydney, un pont majestueux, une masse impressionnante de ferraille posée sur de majestueux piliers de pierre. Je le mitraille sous tous les angles, passe juste dessous pour mieux l’admirer, il est vraiment magnifique. Il est possible de marcher à son sommet, sur les arches, mais vu le prix astronomique je vais m’abstenir.



Je tourne autour du pont, le photographie sous toutes les coutures et tombe sur son voisin non moins célèbre : l’Opéra de Sydney. C’est une des cartes postales les plus célèbres du monde, quasiment comparables à la Tour Eiffel. Dès que l’on pense Sydney, on pense Opéra de Sydney. En fait, comment dire, c’est un monument qui mérite d’être vu … de loin. Sa forme caractéristique de voiles déployées est splendide, mais vu de près c’est un peu décevant. Les voiles de béton sont en fait couleur crème, posées sur un bâtiment d’une couleur marron très années 70. Et je découvre l'édifice par un temps désespérément gris, qui ne le met pas en valeur.

C’est souvent pareil pour les monuments mythiques que l’on finit enfin, un jour, par voir de nos propres yeux : on s’en était fait une certaine idée, on a vu des cartes postales plus belles les unes que les autres. Et le jour J enfin arrivé on se rend compte que la réalité est différente, que le monument n’est pas si imposant, que le décor environnant n’est pas à la hauteur … Bref on reste un peu sur sa fin, content quand même de l’avoir enfin vu. Allez je vais faire le chauvin de base, ce n’est pas le cas pour la Tour Eiffel, elle est réellement belle et on ne se lasse pas de la voir !



Je mitraille quand même l’Opéra, en attendant des jours plus ensoleillés et un meilleur angle, en fait le tour, et rentre par le centre, par l’immanquable mais peu humaine George Street. Soirée tranquille à l’hôtel, sans mettre les pieds sur l’immonde Darlinghurst Road. J’ai quand même vu une épave dévaler la rue en caleçon, affolé puis affalé au milieu de la chaussée, devant l’hôtel.

Le lendemain est sûrement la pire journée de mon voyage : je la démarre sur Internet à essayer de dégoter une location de van à prix imbattable, je la poursuis sur Internet à attendre en vain la réponse du loueur, je la prolonge sur Internet à remplir le formulaire de l’ambassade indienne pour obtenir le visa. Je renonce au wifi trop long de l’hôtel à 15 heures pour aller … au cybercafé en face ! Il y des journées pénibles comme ça pendant le voyage, où on ne fait que régler des formalités. Et comment ils faisaient les voyageurs avant qu’Internet n’existe ? Ils prenaient probablement plus de temps dans chaque endroit, marchaient des kilomètres supplémentaires pour aller d’un organisme à un autre, et avaient moins le luxe du choix.
Je n’irai prendre l’air que le soir sur la décadente Darlinghurst Road, pour boire un verre avec Rémy et Xavier et Nicolas, en observant les « cas humains », alcoolisés ou très sexués, passer devant nous.

Le lendemain matin je termine cette procédure de visa indien, prends rendez-vous avec l’ambassade … et décide qu’en fait je n’irai pas ! Je m’étais promis de ne pas m’interdire de grands changements d’itinéraire, c’était le moment de tenir ma promesse. Le casse-tête de l’itinéraire et du timing en Asie a trouvé sa solution en enlevant l’Inde et le Népal, et en ajoutant le Laos et le Cambodge, dont on me dit le plus grand bien et qui restent authentiques. Difficile décision, surtout pour l’Inde, mais j’ai tout le temps de les visiter plus tard, et je gagne l’avantage de voyager quatre mois et demi en Asie sans prendre l’avion. J’ai peut-être eu un billet tour du monde à un prix imbattable, mais les vols sont une plaie : ils obligent à être à un certain endroit à une certaine date, et enlèvent donc toute liberté dans la gestion du temps, notamment la liberté de rester un long moment dans un endroit coup-de-cœur.

Je peux donc repartir me balader dans Sydney, et pour ne pas faire dans l’originalité, je pars à nouveau vers l’Opéra et le Harbour Bridge, mais cette fois en traversant le Botanic Garden, magnifique jardin entre la ville et la baie. En ce samedi ensoleillé, il est plein de familles qui s’y allongent entre les arbres majestueux, un mariage en tout petit comité est même célébré.



En entrant dans l’Opéra, je ne résiste pas à l’envie d’acheter une place pour un spectacle le lendemain soir, j’attrape la toute dernière in extremis. Je traîne un peu sur le Circular Quay, d’où partent tous les ferries, profite du spectacle donné par un aborigène qui jour du didgeridoo comme un dieu, et monte sur le pont pour le traverser aller et retour, et profiter d’un meilleur angle de vue pour photographier l’Opéra, sur fond de verdure et de gratte-ciels.

Je rentre à l’hôtel, à nouveau par le Botanic Garden mais en l’explorant un peu plus, et tombe sur une de ses meilleures attractions : les arbres aux chauves-souris. Des dizaines, des centaines même, qui ont élu domicile sur une paire d’arbres et décollent ou s’y posent frénétiquement. Il est 19 heures, la lumière tombe, elles s’excitent et risquent la collision à tout moment. Spectacle impressionnant. Leur atterrissage vaut le spectacle : je pose les pattes sur une branche, comme n’importe quel oiseau, et hop je bascule pour passer la tête en bas. Une demie seconde chrono !



Nous sommes samedi soir, pas un soir à rester dans l’hôtel conquis par les teutons et les froggies (deux de plus dans le dortoir, nous sommes maintenant sept français sur neuf). Avec Rémy et Xavier, direction les parcs pour d’hypothétiques concerts dont on nous a parlé. En ce moment c’est le Sydney Festival 2010, entre autres festivals, et il y a des évènements culturels de toute sorte partout dans la ville. Premier essai à Hagley Park, pas de chance un grand concert gratuit vient de se terminer. On pousse vers Hyde Park et on trouve un concert de reggae gratuit sous un petit kiosque pittoresque, au milieu d’une petite garden-party ni chic ni populaire. Soirée tranquille, rien d’excitant non plus. Au retour on ne résiste pas à passer par Darlinghurst Road, un samedi soir c’est un (triste) spectacle qui ne se rate pas. Et effectivement il faut se pincer pour y croire. Côté masculin, ça gueule comme des bourrins en buvant. Côté féminin, on se demande si la pire vulgarité est vraiment chez les « payantes » ... Un spectacle grandeur nature qui fait presque rire, au second degré.

Dimanche midi Sabrina, une jeune allemande de l'hôtel, nous entraîne vers le Fish Market, avec deux de ses copines Tatjana et Annie, allemandes aussi forcément. Déjeuner au soleil, huîtres et vin blanc, la vie comme elle devrait être tous les jours … Passage pour Paddy Market, petit tour du centre dans le monorail aérien, et retour à l’hôtel. Je ne peux pas profiter des pâtes cuisinées par les trois filles, mon spectacle m’attend. Je file donc à l’opéra, toujours en traversant le Botanic Garden, c’est fou le nombre de kilomètres qu’on peut faire tous les jours dans une grande ville … Le temps de me rafraîchir en plein vent, sur la terrasse de l’Opéra, face au Harbour Bridge, je constate que tout le monde est habillé en tenue de soirée, logique pour un spectacle à l’Opéra, non ? Et moi, j’ai mis mes chaussures de rando, propres quand même, et mon plus beau tee-shirt. La panoplie du backpacker, quoi ! Il y a des jours où l’on regrette de ne pas avoir alourdi un peu son sac pour pouvoir s’habiller un peu. Pour la même raison j’avais renoncé au cours de tango à Buenos Aires, mais j’en connais qui ne s’étaient pas gênés et qui se reconnaîtront ici, bien que je ne les aie pas vus (laissez-moi un commentaire si vous vous êtes reconnus, je verrai si vous me lisez encore !)… Le spectacle est le Balé de Rua, un spectacle brésilien de danse de rue et percussions qui a fait le tour du monde. J’aurai mis les pieds dans le célèbre Opéra de Sydney mais n’aurai pas encore vu un spectacle d’opéra. A l’intérieur la salle est énorme, mais un peu stylée années 70, comme l’extérieur finalement. Le spectacle est magnifique, les danseurs de vrais athlètes, la chanteuse se déhanche comme une vraie brésilienne (j’ai dit une vraie !). J’arrive à prendre quelques photos en cachette, ne pas garder de souvenir eût été pour le moins regrettable, n’est-il pas ? A la sortie la vue sur le port est magnifique, l’Opéra et le pont sont illuminés et en imposent.



Le lundi matin, je dégote enfin une location de van quasiment donnée, je quitte donc Sydney le lendemain pour un road-trip solitaire mais court qui me fait déjà saliver. L’après-midi je prends le ferry pour Manly Beach, à l’entrée de la baie de Sydney. Petite station balnéraire plutôt mignonne, plage remplie de jeunes, surfeurs débutants qui s’essaient sur un petit rouleau … la plage à proximité d’une grande ville, on touche du doigt le lifestyle australien …



Cette après-midi tranquille sur la plage est aussi l’occasion aussi de confirmer l’impression très forte acquise en ville : les australiens font très attention à leur image, à leur corps. Les joggeurs au torse nu dévoilant les plaquettes de chocolat, accompagnés de leur copine elle aussi physiquement irréprochable (et habillée sexy quand elle ne court pas), sont légion. J’ai rarement aussi peu constaté les ravages de la société occidentale qu’à Sydney, les surcharges pondérales ne courent pas les rues. Et les MacDo et autres fast-food ne sont d’ailleurs pas très nombreux, on verra bien si c’est pareil ailleurs. La veille Tatjana m’affirmait que ce culte du corps poussait à l’obsession. OK mais il faut reconnaître que ça donne de sacrés résultats !

A part ça, que dire des australiens après quelques jours passés à Sydney ? Qu’ils sont plutôt sympas et cool, un peu comme en Nouvelle-Zélande. Et que leur accent est parfois un peu difficile à comprendre, un mélange d’américain nasillard et de hippie qui aurait forcé sur son plaisir quotidien …

Je rentre par le ferry et pour la énième fois par le Botanic Garden, pour le plaisir de voir les chauves-souris, qui dorment encore, et les magnifiques perroquets blancs à la houpette verte. Soirée tranquille à l’hôtel, nuit chaude et moite au bruit du ventilateur comme d’hab’. Et le matin je prends le métro (il était temps de le découvrir tiens !) pour aller chercher mon van presque gratuit et sillonner les routes australiennes vers l’ouest. Yesssssss !
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14 commentaires:

  1. Ouf, j'ai cru un moment qu'il y avait rupture dans mon abonnement par oubli de paiement...
    Bien différent l'Australie, mais ton article est toujours aussi interessant !
    Que cela t'encourage pour les prochaines rédactions.

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  2. @Dad :
    Le blog était 100% à jour en quittant la NZ, je n'y croyais pas. Ca m'a permis de décrocher un peu pendant quelques jours ... et je suis à nouveau en retard !
    Merci & @ +

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  3. Voici le lien ci-dessous du voyage de noce de mon meilleur ami qui à voyager à travers la NZ en Van durant 3 semaines...

    http://delaire.canalblog.com/

    Textes et articles toujours de même qualité, les kilomètres parcourus ne fatigue pas notre reporter sans frontières... Bon courage Nicolas et @ bientôt de te lire toujours et encore... Have a good trip !

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  4. @Philippe :
    Si les kilomètres me fatiguent un peu, mais au moins le blog n'a jamais été si peu en retard. Et si je ne le soigne pas jusqu'au bout, je le regretterai.
    Merci & @ +

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  5. Donc NZ et Australie, 2ème choix...

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  6. Hi Nico !

    J'en reste au ressenti de mon dernier commentaire : textes, photos & articles effectivement toujours d'aussi bonne qualité, bien retranscris, bien détaillés, fluides & ayant le grand mérite de nous emmener avec toi dans tes découvertes & autres aventures, mais plus froids, plus purement descriptifs... 'fin bref, on a déjà évoqué ce point !

    Je pense que tu fais bien de partir "sillonner les routes australiennes vers l’ouest". D'après ce qu'on m'en a dit, ça vaut le coup de "rentrer" dans le pays, au sens propre comme au figuré... Tu raconteras !

    Pour ce qui est des changements de programme, je me disais justement que c'était cool de pouvoir avoir une certaine souplesse, pouvoir écourter ou allonger en fonction des coups de coeur. Je pensais que tu serais beaucoup plus contraint par les billets & programmation initiale. Bon, je n'ai pu m'empêcher de laisser échapper un "ooh, dommaaage..." devant la suppression de l'Inde & le Népal, mais que veux-tu, devant l'immensité du monde, faut savoir faire des choix...!!

    Aller, à bientôt Nico !

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  7. @Céline :
    ah quand tu reviens sur mon blog, tu reviens en force !
    On est d'accord, je suis plus descriptif et moins passionné, ça doit refléter mon humeur du moment et mon ressenti du pays. Mais aussi j'ai perdu l'habitude de tout noter dans mon petit carnet, ça il faut que je m'y remette à tout prix !
    Euuuuh, en fait je vais VERS l'ouest mais je m'arrête bien avant, à lire dans le prochain article. Pas le temps ni l'envie de passer de longues semaines ici, l'Asie m'appelle ...
    Pour ce qui est des contraintes, je vais zapper un vol, c'est la seule façon de s'affranchir.
    Et je suis d'accord pour l'Inde et le Népal, c'est une difficile décision, mais je n'y perds pas au change !!
    Bises

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  8. @François (t'as vu j'ai retrouvé ton prénom !) :
    je n'irai pas jusqu'à dire ça, ça reste objectivement des pays fantastiques, mais qui s'intègrent moins bien dans mon tour du monde, et ce n'est pas forcément valable pour les autres voyageurs.
    @ +

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  9. comme tu aimes essayer du local, tu devrais donc nous narrer bientôt un cours de didgeridoo (bon courage pour le souffle continu), de surf extrême au milieu de l'océan après avoir été tracté par un jetski, et peut-être une plongée 'je joue avec les requins tigre'. Ca serait dommage de rater ça avant de partir!
    On sera au Japon en avril. Ca sera sur ta route (en parlant de pays cher...)

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  10. salut nico !
    dernière semaine pour moi avant de reprendre le travail ;ma lecture en sera peut etre moins assidues ,mais j'attendrai quand meme le prochain article avec envie !
    Comme beaucoup de monde en te lisant nous avons eu l'impression que tu te plaisais moins bien en NZ et en australie ... il y a matière à reflexion : peut etre n'avais tu pas besoin de retour à une civilisation plus semblable à la notre à ce moment la? car malgré la beauté des paysages ,tu ne nous parles que trés peu des gens et de l'ambiance ressentie ou alors de façon plutot négative ! à retenir pour nous grand voyageurs (en stand bye pour le moment je te l'accorde ! )l'australie et la NZ ne s'intégrent pas forcément super bien pour une longue durée dans un tour du monde mais se suffisent à elles meme pour des longues vacances ....
    Quand à ton changement ,comme beaucoup j'ai pensé "oh ,zut ,l'Inde c'est quand meme top ! " mais je comprend ta démarche de vouloir profiter plus longtemps de l'asie ,et je pense que tu ne regretteras pas ..
    pour l'inde ,tu auras bien le temps d'y aller !d'ailleurs ,ce pays est tellement à part qu'il aurait fallu y passer beaucoup de temps aussi pour vraiment l'apprécier .
    En tout cas régale toi en Asie ,la gentillesse des gens y est sans pareille et la beauté des pays que tu vas visiter va encore nous enchanter via ton blog !
    à bientot !

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  11. Salut Nico,
    ce soir je suis dans ton coin ! En France of course... Je vais voir un match de basket sur Lille contre Le Portel, mon ancien club et on est sur Wazemmes après... Je léve ma bière et pense à toi bien fort ! Santé Amigo...

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  12. @Fred :
    Je réfléchis à ce que je pourrais faire d'autre, je crois que le kitesurf s'annonce bien au Vietnam, mais ça c'est plus tout à fait nouveau. Le Japon ? ah c'est très loin sur ma liste de futurs voyages, mais j'imagine que ça vaut le coup ... et fini les pays riches pour moi !
    @ +

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  13. @Fabienne :
    je garde quand même un très bon souvenir de la NZ, et je profite de l'Australie (pour le peu que j'y reste), mais clairement ça s'intègre très moyennement dans mon TDM. Comme tu dis, ce sont des pays qui mériteraient un voyage à part, pour de longues vacances de 2 à 3 mois. C'est bien ce que je compte faire un jour : revenir en NZ et Australie. C'est ce que je m'étais dit dès le début pour les US par exemple. Ceci dit, c'est quand même une coupure qui me permet de souffler entre 2 continents forts à tous les niveaux, et a posteriori ça s'avérera peut-être d'excellentes étapes. En tout cas ça reste mon opinion, bcp de voyageurs sont contents de s'arrêter ici pour un long moment, pour se refaire des thunes et regoûter aux plaisirs du "voyage facile".
    Et l'Inde, ben tu m'apportes un argument supplémentaire : ça aurait été la course ou je n'aurais quasiment rien vu. Mais bon quand même c'était dur de la laisser de côté.
    biz & @ +

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  14. @Philippe :
    merci, je lève mon verre aussi. Oh Wazemmes, ça faisait longtemps que j'y avais pas pensé, je pense même pas à mon appart' ...
    @ +

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