Je suis reparti en Argentine ! Bientôt le nouveau blog ...
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dimanche 21 février 2010

Mui Ne, Dalat, Nha Trang ... Chuc Mung Nam Moi !

Je monte dans le bus, après un au-revoir chaleureux des filles de l’hôtel. Direction Mui Ne, un poil plus au nord. C’est une plage réputée pour le kite-surf entre autres. Comme je n’en ai pas fait depuis le Pérou, et que ça devrait être assez abordable (tout est relatif, le kite-surf ne l’est jamais vraiment), une petite soif de sensations me saisit.

L’assistant me désigne ma place d’une façon autoritaire, OK chef, et le bus fait trois tours du quartier des backpackers pour récupérer tous les passagers. Quel bonheur, ici les bus qui font les liaisons entre les villes viennent nous chercher à notre hôtel, et on peut acheter le billet à l’hôtel sans craindre de payer plus que le prix normal. Voilà une facilité énorme par rapport à l’Amérique du Sud, où l’insécurité (relative) et la malhonnêteté (universelle) des taxis ajoutait à la pénibilité des transferts vers les terminaux de bus.

Il y a quatre heures de bus, et le bus met au moins une heure à sortir définitivement de toute agglomération. Ce qui veut dire une heure de klaxon permanent et aggressif contre les motos, qu’il frôle et dépasse avec peu de précautions. Une fois le klaxon calmé, la route se poursuit dans un décor agréable, mais sans plus. Je fais la connaissance de ma voisine Nina, une anglaise très sympa qui voyage sans limite de temps. Nous trouvons une petite guesthouse pas chère et sans prétention, le long de l’unique rue de Mui Ne : une rue longue d’une dizaine de kilomètres, où s’enchaînent les hôtels, guesthouses, et restaurants. Aucun centre-ville, aucune raison de marcher en quête d’un hypothétique lieu d’animation.




Première chose à faire avant de réserver des cours de kite-surf, m’occuper de mon « asian tatoo », la belle brûlure que j’ai au mollet à cause de la petite chute à moto, la veille à Saigon. Elle ne fait pas franchement mal mais n’a pas belle allure. Le petit hôpital me confirme ce que je craignais : pas de baignade pendant plusieurs jours. Donc pas de kite. Génial, je suis venu à Mui Ne pour cette seule et unique raison (et la superficialité du lieu me donne raison). Je peux déjà penser à m’en aller vers la prochaine étape. Il y a quand même un petit tour sympa à faire dans le coin, un tour de quelques heures en jeep pour voir des dunes. Je réserve donc ça avec Nina pour le lendemain. Fin d’après-midi paresseuse au fond d’un hamac, dans un bar de plage, cocktail au bout des doigts, c’est à peu près tout ce qu’il y a à faire ici.

Plus tard dans la soirée, ne réussissant pas à recroiser Nina, je m’en vais à pied le long de la rue interminable, à la recherche d’un petit resto sympa et pas cher, et où je puisse surtout trouver quelques êtres humains. Parce que tout le long , il n’y a qu’hôtels vides et réceptionnistes qui se morfondent comme des rats morts. Je trouve cette petite perle et m’installe, en bord de mer. Beaucoup de russes autour, c’est étrange, d’ailleurs j’ai remarqué que beaucoup d’inscriptions commerciales sont traduites en russe. Mais ceux-là ne sont pas les mafiosos richissimes et vulgaires que j’ai pu croiser dans différents pays. Juste le russe moyen, simple et sympa. Comme dans ma guesthouse d’ailleurs, il y a trois couples de russes qui sont là pour un long moment et ne font que du kite-surf (le simple fait qu’ils soient dans la même guesthouse que moi est un indice de leur "social-moyennitude").

Je m’avale un bon plat de fruits de mer et continue ma longue marche vers un secteur qui avait l’air un peu plus dense et animé, vu du bus ce matin. Je marche de façon interminable, cherchant à faire coïncider les noms des hôtels avec le plan de mon Lonely Planet, et finis par atteindre l’endroit voulu. 45 minutes de marche pour 0,5 mm sur mon plan, je devrais peut-être me décider à monter sur une moto. Je passe un long moment dans un bar de plage animé, ça  fait du bien un peu de chaleur humaine dans cette ville ! Je rencontre entre autres un canadien qui travaille au Koweit et veut absolument tester toute la carte des cocktails. Je finis par rentrer et me résous à monter sur une moto, pas très rassuré quand même à cause de ma brûlure et des quelques bières qui ont entamé mon sens de l’équilibre.

Nuit réparatrice et matinée glandeuse dans le bar de plage, et je retrouve Nina pour notre tour en jeep, accompagnés d’une allemande très réservée. Nous commençons par un petit canyon à la sortie de la ville. Il faut marcher quinze minutes dans le ruisseau, pour arriver dans un bel endroit. Roches blanches et orange à gauche, végétation luxuriante à droite, les pieds dans l’eau chaude, sympa.




Nous poursuivons avec le petit village de pêcheurs un peu plus loin : des centaines de bateaux bleus tous identiques au mouillage, et sur le sable d’étranges petites coquilles d’osier qui servent à rallier ces bateaux où à faire de la très petite pêche. Qui a pu inventer des formes aussi peu adaptées à la navigation ? En tout cas ça ne manque pas d’exotisme. Nous poursuivons vers des dunes blanches bordées d’un lac, donnant l’apparence d’un micro-désert. Nous ne sommes pas seuls, de nombreuses jeep attendent leurs clients partis descendre les pentes sableuses sur des feuilles de lino louées par des petits vietnamiens. Nina tente le coup et descend laborieusement une pente raide. Ce micro-désert est très beau et donne une vue magnifique sur les environs.




Nous poursuivons dans notre jeep, pendant qu’une jeune canadienne nous suit partout à l’arrière d’une moto. Courageuse … Petit arrêt dans un mini-canyon ridicule et plein de déchets. Quand je disais que le marketing touristique a besoin de créer des lieux à partir de presque rien, où de justifier l’intérêt d’un tour en ajoutant des arrêts insignifiants ! Mais nous finissons sur des dunes jaunes pour le coucher de soleil. Beaucoup de touristes là aussi, mais nous sommes accueillis par de très jeunes vietnamiennes, de six ans à peine, qui veulent absolument nous louer leurs carrés de lino. Elles parlent vraiment bien l’anglais, c’est étonnant, et reproduisent assez bien l’accent anglais ou américain par mimétisme. Insistant pour que je descende les pentes avec son bout de lino, l’une me regarde et me dit le plus sérieusement du monde : « You just slide down, yeaaaaaah ! ». Je réponds : « Yeaaaaaaaaaah ? », elle répond « yeaaaaaaaaaaaaaaaaaaah » avec un accent américain caricatural, sans comprendre ce qui me fait rire. Mignon et étonnant. Le coucher de soleil se termine, pas inoubliable malgré la beauté des dunes, et retour à l’hôtel en jeep. Histoire de profiter un peu de l’endroit, je fais un petit resto avec Nina, et nous repartons au même bar de plage, trop calme ce soir.

Départ le lendemain très tôt, l’hôtel en face qui avait promis de me servir un petit déjeuner à 6h30 m’a zappé en beauté. C’est un mini-bus qui vient me prendre pour Dalat, avec à bord trois couples âgés. Début de cinq heures de trajet un peu pénibles malgré le beau paysage. On commence par une heure de klaxons compulsifs et agressifs du chauffeur contre les motos, puis le mobile de l’assistant qui sonne tout le temps à côté de moi, avec sa musique pourrie qui commence à me trotter dans la tête. Nous abordons la montagne, et le chauffeur se met à faire des demi-tours, apparemment il cherche quelqu’un à l’adresse floue. Nous finissons par nous énerver et demander à ce qu’on reprenne la route. Plus loin c’est un camion qui tombe en panne dans un lacet. Le chauffeur sent qu’il doit y mettre du sien pour ne pas imposer une nouvelle longue attente, et passe à moitié dans le fossé. Seul bon moment, un arrêt photo à la sortie d’un petit village avec vue imprenable sur les montagnes tapissées d’arbres.
Nous arrivons à Dalat à midi, et je gagne mon hôtel, tenu par une famille dont le père parle parfaitement l’anglais et le français. Au départ je ne prévoyais pas de passer à Dalat, parce que son intérêt est mitigé, mais comme je suis parti rapidement de Mui Ne, j’ai du temps. La ville est réputée pour avoir un climat plus agréable qu’ailleurs, plus frais, et pour combiner sa situation proche des montagnes avec un certain esprit bohème. Pour l’esprit bohème et la fraîcheur je cherche encore, mais il est vrai que cette ville est agréable à vivre, assez tranquille. Je m’offre un petit resto français, ça fait du bien de temps en temps, et un petit tour de la ville, avant d’aller visiter l’attraction majeure : Hang Nga Crazy House, la maison folle. Sortie de l’esprit d’une architecte locale, elle veut réconcilier l’homme avec la nature suite aux dommages énormes de la guerre du Vietnam. Et c’est impressionnant : en fait d’une maison c’est trois maisons maquillées en rochers ou en troncs, reliées par des escaliers en formes de rondins de bois, dans tous les sens. Il y a des chambres, différentes pièces. Une vraie maison mais complètement barrée, qui vaut le coup d’œil.




Le soir je trouve un café pur backpackers, qui me permet de manger pas cher et de rencontrer du monde autour d’une bière, parce que mon hôtel et ses chambres privées, certes irréprochable, n’est pas le meilleur moyen de rencontrer des voyageurs. Le lendemain je pars à la visite du marché, qui me rappelle instantanément ceux d’Amérique du Sud. Dans un énorme bâtiment, organisé en secteurs, avec ses couloirs étroits, ses odeurs fortes … Le secteur de la viande est écoeurant comme d’habitude : ses odeurs, ses peaux et chairs molles qui trempent dans des seaux d’eau, les mouches qui règnent en maître. Des poules sont entassées à la limite du soutenable dans des cages. Deux ou trois enfants me disent « Hello » et tendent la main, mais avec le sourire et sans insistance.

Je vais marcher le long du lac, complètement à sec à cause de travaux, et arrive au Flower Garden, un grand parc floral qui mèle des arbres et fleurs magnifiques avec des compositions un peu kitsch. Je repars au coucher du soleil le long du lac, et croise un groupe de jeunes vietnamiens assis sur le bord qui me font signe de m’asseoir avec eux. Je n’hésite pas une seconde, l’occasion est trop belle. Ils ne parlent pas un mot d’anglais, la discussion est donc très limitée mais on arrive quand même à se comprendre sur deux ou trois choses. Ils me parlent en vietnamien, ultra lentement comme si ça allait m’aider à comprendre, je souris en haussant les épaules pour indiquer que je ne comprends rien. L’un prononce systématiquement le nom Vietnam dans ses phrases, je finis par croire que c’est un mot générique. Un autre montre toujours le ciel du doigt, ça ne m’aide pas plus. Mais on rigole, ils partagent avec moi leur alcool local pas très bon et quelques plats au milieu. Ils sont en vacances et fêtent le Têt, le nouvel an lunaire qui a lieu dans deux jours. Ça je l’ai compris, c’est déjà pas mal. La chaleur écrasante a laissé la place à la fraîcheur, ils sont gelés et étonnés que je sois bien en tee-shirt. Les asiatiques n’ont clairement pas le même gabarit que les occidentaux, je ne me suis jamais senti aussi grand qu’ici, ce n’est pas désagréable … Avant de s’en aller, ils me proposent de revenir le lendemain soir, mais je serai déjà parti. Ils proposent de me ramener en moto, mais je décline gentiment, la brûlure sur ma jambe est encore vive. Finalement je sors l’appareil photo pour immortaliser le moment, et ils se déchaînent comme des enfants, voulant chacun leur photo avec moi, ou que je les prenne tout simplement. Un petit moment simple et authentique comme on voudrait en vivre tous les jours.




Je passe la soirée au même café de backpackers, à l’ambiance toujours très bohème. Je retrouve les mêmes britanniques et français de la veille, des canadiens, des irlandaises … Le lendemain je suis à nouveau très tôt sur le pont pour attraper mon bus vers l’étape suivante, Nha Trang sur la côte. Comme en Amérique du Sud, j’accumule déjà un énorme manque de sommeil, alors que l’Australie et la Nouvelle-Zélande m’avaient permis de dormir. Le rapport entre le niveau de développement d’un pays et la facilité/difficulté d’y dormir, est flagrant.

Un jour et demi à Mui Ne, idem à Dalat. Je n’ai jamais voyagé aussi vite, mais c’est le nouvel an dans deux jours, et des informations contradictoires circulent sur le niveau d’activité du pays pour les quatre jours qui suivent. Dans le doute, il vaut mieux rallier un endroit très vivant et sympa, au cas où je serais bloqué sans bus pour poursuivre. Cette fois-ci c’est un vrai bus, rempli par une majorité de locaux qui rentrent dans leur famille pour les fêtes, et quelques voyageurs.

Le paysage est splendide sur tout le trajet, dans les montagnes tapissées d’arbres, sur une route taillée à l’explosif. Partout c’est une explosion de vert malgré le soleil qui tape. De temps en temps je vois une vaches maigre et osseuse attachée en plein soleil. Nous descendons de la montagne, la végétation est encore plus luxuriante, les fleurs omniprésentes. Le bus s’arrête dans certains villages pour livrer des colis. Arrivé à Nha Trang à midi, je décide malgré le cagnard de marcher avec mes sacs jusqu’au quartier où j’ai réservé mon hôtel. Un petit hôtel familial, comme quasiment tous ceux dans les tranches inférieures de prix, et à deux pas de la plage. Mais encore dans une chambre privée, je n’ai toujours pas trouvé de dortoir au Vietnam.

Nha Trang n’est pas franchement un lieu d’histoire et de culture, ni un lieu typique du Vietnam, c’est l’un des lieux les plus touristiques grâce à sa plage magnifique, ses bars, son quartier occidental très animé au bord de la plage. Pas ce qui m’attire le plus, d’autant que j’étais déjà à Mui Ne trois jours avant, et que je porte toujours ma brûlure à la jambe. Mais c’est une étape obligée pour poursuivre vers le nord depuis Dalat. L’après-midi passe vite mais je trouve le temps de réserver un tour de snorkeling pour le lendemain, on verra bien comment la brûlure réagit. Je me balade dans le quartier et assiste à une cérémonie de mise en bière dans un petit magasin, cérémonie apparemment catholique. Un petit orchestre joue sur le trottoir, et derrière eux une vingtaine de personnes regardent. Cinq hommes s’affairent sur le cercueil avec pistolets de silicone et marteaux. La musique s’arrête, les musiciens s’en vont sans attendre, l’un d’eux sifflote même, en se frayant un chemin alors que la cérémonie continue. Plus tard ce sont les hommes chargés de sceller le cercueil qui s’en vont au milieu de tout le monde, ben oui quoi le travail est fini !

Je poursuis dans la rue, porte un œil discret sur les menus des restaurants qui s’alignent. Alors que revoilà … Nina ! Je l’avais laissée à Mui Ne trois jours plus tôt, je la retrouve par hasard ici, avec une autre anglaise. Quelques verres et un repas plus tard, je les laisse et rentre à l’hôtel, fatigué. Je me lève tôt à nouveau (ça devient une très mauvaise habitude) pour aller faire du snorkeling. Je découvre que l’agence appartient à un français d’âge très mûr installé ici depuis quelques années avec sa femme vietnamienne. Il est très sympa, et a apparemment la belle vie. Sur son vieux bateau il nous emmène vers Mun Island, sur un premier site de plongée. Les coraux ne sont pas très colorés mais les poissons superbes. Après un déjeuner vietnamien sur le bateau, nous allons au deuxième site, puis retour à Nha Trang, où je glandouille toute l’après-midi

Nous sommes le 13, c’est ce soir le passage à la nouvelle année. Dès 22 heures la plage se remplit, les accès sont encombrés par les scooters, il règne une bonne ambiance, très familiale. A minuit, le feu d’artifice est lancé depuis un bateau. Chuc Mung Nam Moi ! Happy new year ! Je rentre à l’hôtel, et là bonne surprise la famille nous offre du vin, de la bière, des biscuits, et une petite pochette rouge contenant un billet de 2000 dongs. C’est la tradition, c’est l’argent porte-bonheur. Le montant est dérisoire, 5 centimes d’euros, mais le fait qu’ils nous l’offrent à nous simples clients fait assez plaisir. C’est l’occasion de rencontrer un jeune couple qui est dans le même hôtel, lui est sud-africain, elle est slovaque, et ils vivent à Singapour (excusez du peu, ils n’ont pas trouvé plus compliqué). Il a beaucoup voyagé, notamment en Amérique du Sud, donc la conversation n’en finit pas. Je n’ai pas la force de les suivre pour sortir, et vais me coucher.




Le lendemain je profite de mes dernières heures à Nha Trang pour visiter un temple, Loc Son Pagoda. Elle est bondée de monde en ce premier jour de l’an, je suis presque le seul étranger, ce qui suscite toujours un peu de curiosité. Un vieux moine est assis sur une balancelle, et les gens viennent lui parler, pleins de déférence. Au-dessus du temple, sur la colline, se trouve un magnifique bouddha allongé, de plusieurs mètres de long. Puis j’assiste à un rituel étrange : les gens vont s’asseoir à tour de rôle sur un banc à l’intérieur d’une cloche énorme, pendant qu’un homme en habit blanc la percute avec une énorme masse et chante en même temps. Comme il me voit curieux, il me propose de m’asseoir dedans. Je crains un peu pour mes oreilles mais en fait ça ne résonne pas beaucoup à l’intérieur. J’y vais de mon petit billet, ravi de cette expérience mais sans savoir ce qu’elle signifiait. Au sommet de la colline, un grand bouddha éclatant de blancheur comme s’il venait d’être peint.




Je rentre en passant par des quartiers populaires, très calmes voire endormis par ce jour de nouvel an et sous le soleil brûlant. Les hommes jouent aux cartes sur le trottoir, des jeunes sont contents de me croiser et de me souhaiter Happy New Year, bredouillant les quelques mots d’anglais qu’ils connaissent. De retour à l’hôtel je retrouve le couple slovaquo-sudafricain, et vais boire un café avec eux en attendant mon bus de nuit. Forcément on parle encore voyage et Amérique du Sud, ses conseils ne font que renforcer ma liste déjà bien établie de futurs voyages …

19 heures, je saute dans le bus, et tire une drôle de tête en voyant comment sont faites les couchettes. On se retrouve dans quelques heures, sûrement un peu décalqué !
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14 commentaires:

  1. Merci pour ton assiduité ! tous les we nous pouvons te lire et partager ce que tu vis et découvre chaque jour à travers tes déplacements. bonne continuation et à la prochaine !!!

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  2. Salut Nico,

    tu rends mes lundi matin moins douloureux : P....n il est déjà 10h et j'ai encore rien foutu d'autre que de relever ma boite mails et lire ton blog !

    C'est assez zen pour commencer la semaine, en revanche c'est pas vraiment ça qui donne le coeur à l'ouvrage : j'ai le vague à l'âme, les yeux dans le flou, l'esprit ailleurs !

    Ton voyage est vraiment magnifique et l'aventure bloguistique d'une qualité réelle.

    Je suis impressionné de cette richesse qui est maintenant tienne ! T'as une idée de comment tu vas faire pour la valoriser et lui éviter de s'endormir en simple souvenir ?

    @+
    Manouel Porltouguesh

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  3. @Maminou :
    j'ai un retard de fou, ça devient très dur à rattraper !
    biz

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  4. @Manouel Porltouguesh :
    Je réfléchis à qui tu peux être, et j'ai du mal à saisir l'allusion. François qui fait une crise de nommite aigüe ?
    Enfin qui que tu sois, lecteur poilu, sache que rien ne peut me faire plus plaisir que de savoir que mon blog t'empêche de travailler.
    La richesse qui est maintenant mienne ... bonne question que tu soulèves là. Je me la pose régulièrement et ne trouve pas la réponse ou presque. Je crois que je la cernerai vraiment quand je rentrerai.
    Et comment la valoriser ? Alors là c'est encore plus dur à répondre. Espérons que ce sera plus qu'un simple souvenir ou un simple rebond vers un autre voyage ...
    Allez, continue à être inefficace au boulot à cause de moi !
    @ +

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  5. Salut Nico,
    pour info, Manouel y fait le platrach', le plafonnach', le carrelach', l'éclairach', tout le bricolach'
    Mais pas le ménach' !

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  6. salut nico, quelques semaines sans te lire et plaf, je replonge au vietnam... c'est super, une véritable qualité tant dans les photos que dans le texte. je vais faire un petit voyage dans le temps pour rattraper mon retard...
    biz et bonne continuation

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  7. @Manouel :
    ah OK ch'est Burnch ! ben t'es pas chi poilu que cha !

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  8. @Yann (barbu ?):
    Hey salut, content de te voir écrire ici !
    Ben merci, mais moi j'ai l'impression de bâcler tellement je manque de temps. Quand je serai rentré ce sera un bonheur de le lire, et un soulagement de pouvoir arrêter ... ou pas !
    biz & @ +

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  9. Bạn cảm thấy trong các văn bản của bạn mà Việt Nam đã đưa ra động lực mới trong cuộc phiêu lưu của bạn là tốt cho bạn và nó là một điều trị cho chúng tôi rằng chúng tôi có thể thoát khỏi! cảm ơn bạn và may mắn! Vianney, dịch Vietnamen

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  10. @Vianney :
    Tất nhiên, động lực đã tiến một bước nhảy vọt lớn về phía trước. Tôi cảm thấy còn sống !

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  11. j'avais quelques étapes de retard et t'avais laissé en NZ . J'ai rattrapé mon retard. Mais comment fais tu pour passer des plages désertiques et paradisiaques de la " great ocean road " aux rues grouillantes" de Hong Kong ou de Saîgon ? quel contraste !
    Et encore on a les images et ce que tu nous decris , mais je suppose qu au niveau bruits et odeurs ça ne doit pas être triste !!
    Ca ne m'étonne pas que tu préféres cette authenticité d'un peuple sans doute plus chaleureux bien que tu doives retrouver tes reflexes de '' Attention arnaque !! ""
    A bientôt pour la suite

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  12. Je rattrape moi aussi mon petit retard. C'est à cet article que je t'avais laissée la fois dernière, en me disant que je mettrai un commentaire la prochaine fois, du coup. Pis finalement, il y a un nouvel article, aussi je n'attend plus pour te dire que non non, je n'ai pas de nouveau disparu pour un temps indéfini !! Pas encore cette fois-ci !!! ;) D'ailleurs entre-temps, j'ai même eu le temps d'en rêver ! On se rencontrait à une soirée (organisée par quelqu'un de l'impro, d'après ce que j'ai pu comprendre) & on parlait de ton voyage (ouaip, désolée, tu étais - déjà ! - revenu sur Lille...!)
    Bon en tous cas, bien sympathiques ces petits articles. Ca semble plus difficile de rencontrer du monde par contre, non ? Tu crois que c'est juste un concours de circonstances, ou le fait que tu voyages vite en ce moment, ou lié à ton état - notamment de fatigue, ou culturel, ou toute autre hypothèse ????
    Bon aller, bonne suite ! Je reprendrai quant à moi, ma lecture demain probablement.
    Des bises.

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  13. @Gabriel :
    c'est sûr, si tu passes de la NZ à OZ puis à Hong-Kong et au Vietnam en une lecture, ça doit faire un drôle d'effet. Mon adaptation se fait en en peu plus de temps, mais c'est vrai que quitter Sydney un matin et être à Hong-Kong quelques heures plus tard, c'est déjà un sacré choc. Et le Vietnam deux jours plus tard, encore rien à voir. Et c'est bien ça qui est excitant...
    Niveau odeurs, Hg-Kg peut être assez hardcore à certains coins de rue, avec l'abominable sauce de poisson. Le bruit, on finit par s'y faire, on y échappe pas.
    merci & @ +

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  14. @Céline :
    T'en rêves ? c'est que ça te travaille ... Allez, file poser ta dém' et acheter ton billet TDM ! Non attends que je rentre pour te donner quelques recommandations.
    C'est un peu plus difficile de rencontrer du monde dès que les hôtels ne sont pas des backpackers. Et il y a des jours où je ne fais pas l'effort, juste envie de tracer ma route. On ne se lasse pas de parler de voyage avec ceux qu'on rencontre, mais c'est quelque fois un peu stérile, il faut faire les BONNES rencontres.
    Allez, je file répondre à ton autre commentaire sur l'article suivant ... bizzz

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