Je suis reparti en Argentine ! Bientôt le nouveau blog ...
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mercredi 7 octobre 2009

Una loca, dos bonitas

Una loca, dos bonitas ... no hablo de chicas, pero de ciudades ! Une folle, deux belles … je ne parle pas de filles, mais de villes !
Après plusieurs jours magiques passés sur le lac Titicaca, je repasse sur un mode plus urbain, et j’enchaîne les villes pour descendre vers le sud de la Bolivie et mon lieu mythique n°3.

Le sevrage n’est pas trop brutal, je prends un bus de jour qui longe longuement le lac, et même le traverse. Interdiction de rester dans le bus pendant la traversée, nous prenons un petit bateau tandis que le bus est chargé sur une vieille barge. C’est amusant à voir mais on se demande combien ont déjà coulé. Mieux vaut garder l’essentiel sur soi et pas dans le bus ...




Le voyage se poursuit, muy caliente sous ce soleil brûlant, silencieux à côté de ma voisine israélienne cachée derrière ses lunettes de mouche. Je suis perplexe à l’idée de découvrir ce que va être La Paz, la capitale de la Bolivie. On l’imagine bruyante, sale, peu sûre avec des bidonvilles tout autour. Et l’avertissement des guides du Routard ou Lonely Planet sur les mauvais coups classiques, notamment les faux policiers qui « contrôlent-dépouillent » les touristes, donne immédiatement un mauvais préjugé.

Nous traversons une ville bordellique à souhait, avec la circulation, le bruit et une pollution monstre. Mais ça ne peut pas être La Paz, c’est tout plat ! En fait c’est sa banlieue. Quelques minutes après se profile un gouffre énorme, c’est bien La Paz. La capitale bolivienne se trouve dans un canyon encaissé, et c’est une des rares villes au monde où les quartiers riches se trouvent en bas et les quartiers pauvres en haut, ce qui s’explique facilement par la température : le haut du canyon est à environ 3800 mètres, et ça caille sévère ; le bas est à 3200 mètres, ce qui est mieux mais pas top.

Après de nombreux lacets, le bus nous droppe dans une rue censée se trouver dans le centre. Mouais, OK, donc ça c’est le centre ? Non parce que moi d’habitude j’appelle ça un quartier périphérique et peu attirant. Un coup d’œil sur le plan et je confirme, je suis bien dans le centre. Eh bien ça promet … Je décide de partir à pied à mon hôtel, le Loki. Je sais ce que j’ai dit à Cuzco, c’est un hôtel avec plein de gringos anglo-saxons fêtards et pas vraiment voyageurs, je sais, mais ça a des avantages aussi (une grosse couette moelleuse, le wifi, un bar bien pratique quand on a la flemme de sortir le soir, des prises dans les casiers …).

Donc je me lance dans la jungle urbaine, avec mes deux sacs, tel une tortue génétiquement modifiée qui aurait une carapace sur ET sous le corps. Et je traverse un chaos comme j’en ai rarement vu, une rue sale et bruyante où l’on trouve difficilement sa place sur le trottoir (surtout quand on est une tortue OGM), puis une place que je croyais être la principale mais qui est une vraie autoroute, et que je n’arrive pas tout de suite à traverser.




Avec mes 20kgs-qui-valent-de-l’or-pour-un-bolivien, et les mises en garde lues dans différents guides, je ne fais pas le fier mais je croise quand même un gentil monsieur cadre sup’ qui m’aide à me repérer. Je suis passé de l’autre côté du canyon urbain, et je termine par quelques dizaines de mètres de montée raide, une torture à cette altitude et avec 20 kgs, et arrive enfin à l’hôtel. Le programme de la fin de journée va être clair : rester planqué-peinard dans l’hôtel et digérer le chaos que j’ai traversé. Une japonaise dans mon dortoir me raconte qu’elle a été approchée deux fois par des faux flics en une semaine. OK, donc pour une fois les échos négatifs sur la sécurité dans les villes sud-américaines n’étaient pas le fait d’occidentaux frileux et parano, mais une réalité. On verra demain en ville, pour l’instant j’ai à discuter-picoler avec Karel et Amalia, un tchèque et une américaine bien sympas de mon dortoir, dans les décibels infernaux du bar du Loki.

Après une nuit moelleuse sous la couette, je me lance à l’assaut de la ville, avec le minimum de choses en poche mais beaucoup de choses à faire :
- me trouver un pantalon qui ressemble à quelque chose, pas comme l’espèce de pyjama péruvien que j’ai acheté à Copacabana en dépannage ;
- trouver un billet de bus pour partir deux jours après (et oui c’est ça le quotidien d’un backpacker : penser à s’en aller alors qu’on vient d’arriver) ;
ET, ET …
- trouver une agence qui propose le raid VTT sur la Route de la Mort dans de bonnes conditions !

En plus des grands treks dans la Cordillère toute proche, la principale attraction autour de la Paz est la fameuse Ruta de la Muerte, qui porte bien son nom avec ses nombreux accidents mortels. La faute à un tracé sinueux en haute montagne, au bord d’un précipice parfaitement vertical d’environ 1000 mètres.
Juste ça, pas plus. La route est mondialement célèbre pour les frissons qu’elle donne et son triste bilan, même si on doit probablement trouver des routes équivalentes ou pires, en Equateur et au Pérou. Mais une nouvelle route a été construite pour l’éviter, et la Ruta de la Muerte est maintenant livrée aux VTTistes avides de sensations, quasiment vide de circulation. Comme la soif de sensations ne protège pas de la dure loi de la gravité, le bilan de la route continue de s’alourdir, mais plus lentement.

Mais revenons à La Paz, pour cette première journée pleine d’objectifs très concrets, qui me laissent juste un peu de temps pour flâner. Curieusement je ne retrouve pas la sensation de la veille, je vois quelques belles rues bordées de maisons coloniales, des boliviens souriants qui reluquent assez peu les visages pâles, des commerçants polis et affables qui ne dédaignent pas discuter un peu malgré mon mauvais espagnol. Je confirme l’impression dégagée dès la première heure à Copacabana : ce pays donne de très bonnes vibrations, c’est un peuple accueillant dont la mentalité n’est pas gâtée par le tourisme.

Le chaos indescriptible que j’ai traversé la veille est toujours là, mais pas si pénible quand on y regarde à deux fois (et avec deux carapaces de tortue en moins). Et il se limite en fait à un petit périmètre. Par contre je ne tenterai pas l’aventure de prendre le bus pour les quartiers périphériques haut perchés, pour avoir ma photo panoramique de La Paz, faut pas pousser quand même !

Une fois remplis tous les objectifs de la journée, et surtout déniché le pantalon parfait que j’ai toujours cherché en France mais jamais trouvé, je m’accorde enfin une petite balade plus lente, dans la calle Sagarnaga, très touristique mais voisine d’un « marché aux sorcières » : becs de toucan séché contre les mauvais esprits, fœtus de lama à enterrer sous sa maison en offrande à Pachamama, herbes, diverses parties d’animaux, et yatiri (sorcières) au chapeau sombre prédisant l’avenir aux boliviens mais pas aux étrangers. Tout ceci appartenant à l’univers aymara, une culture indigène différente des quechuas.




Puis je m'offre un petit tour dans le quartier colonial, mélange de belles maisons et de buildings pour les banques et grandes entreprises. Au centre de ce quartier, la Plaza Murillo regroupe tout ce qui représente le pouvoir dans ce pays, dont la présidence. La place est très fréquentée, avec un mélange de soldats aux dents serrées, de journalistes et cameramen qui attendent l’info politique du jour, de petits vendeurs de rue, de gens simples qui dénotent presque dans ce quartier riche, et d’innombrables pigeons.

Les jambes usées et le souffle un peu plus affûté, retour à l’hôtel pour une soirée tranquille au rythme de la musique assourdissante, des anglo-saxons braillards et de la happy hour tentatrice, avec Karel et Amalia.

Le lendemain, lever à 5h30, je dois être à 6h30 à l’agence pour essayer l’équipement, prendre le petit-déj ‘, et découvrir mes copains de VTT-taré. Beaucoup de français dans le lot, la moitié du groupe, des autraliens, et deux jeunes allemandes qui font du volontariat avec l’agence (m’enfin, ça veut rien dire !?!). La route n’est pas très longue, le sommet de la Cumbre (4800m) est tout proche de La Paz. Bonne surprise, le sommet est enneigé, « aussi bas » c’est rare . Il y a eu un orage la veille, ceci explique cela. Le bus nous arrête donc en haut, près d’un lac dont le bleu limpide contraste avec la neige. Un élevage de lamas passe tout près, sur le flanc d’une butte. On croirait les rennes du Père Noël.

Le temps de s’habiller et de tester les VTT high-tech, c’est parti pour une descente de plus de quatre heures, 3335 mètres de dénivelé, 64 km. On commence par l’asphalte, c’est un peu mou, les VTT aux ultra-suspensions ne sont pas faits pour aller vite. Mais le paysage est impressionnant, de grands rochers gris que soutiennent des pentes jaunes et marron. Les successions de virages étroits compensent le manque de vitesse.

Passage du point de contrôle de la cocaïne (si si, véridique, c’est marqué en grand, avec des panneaux publicitaires pour expliquer qu’on risque gros), et on remonte dans le bus quelques minutes pour éviter une montée sans intérêt.
Enfin on remonte sur les VTT et là démarre la vraie Ruta de la Muerte : un chemin de terre étroit, sinuant à flanc d’une montagne verte et verticale, suivant ses ondulations, suspendue au-dessus d’un précipice d’environ 1000 mètres. Seule la végétation laisse espérer qu’une chute serait retenue par un arbre, mais statistiquement … euh non en fait, il ne faut pas compter dessus.




Mais le chemin en lui-même n’est pas très pentu, et pas très technique. Il faut juste être très concentré, et connaître chacun ses limites. Je file le train à la guide, qui nous interdit de la doubler sous peine de lui payer une bière. Grosses sensations, virages serrés, paysage incroyable, les yeux attirés par le vide. Quelques pauses pour attendre ceux qui freinent beaucoup, prendre des photos, et lire la plaque commémorative d’une jeune israélienne tombée en prenant une photo. Les multiples croix plantées le long du chemin nous rappellent qu’il faut être concentré chaque seconde, sinon c’est le plongeon immédiat. Finalement la partie la plus intéressante (la partie chaud-les-marrons) se termine, mais il reste encore une longue descente jusqu’à la bonne bière qui nous attend à Coroico. Il faut dire qu’en quatre heures de descente nous sommes passés d’un haut sommet enneigé à un village tropical et avons gagné 25 à 30°C. Après un déjeuner et un plongeon dans la piscine d’un hôtel, le bus nous ramène à La Paz, en remontant tout le chemin inverse, sauf la partie chaud-les-marrons. Trois heures de bus sinueuses qui nous rappellent qu’on a descendu une sacrée distance.

Petit resto entre français le soir, tentative de discussion au bar du Loki le soir, et direct sous la couette ! Et au petit déj’, eh bien pour ne pas changer voilà des français, des amiénois même. La journée passe vite entre un excellent resto argentin (le mois prochain, après la Bolivie, va être un festin …) et une rapide visite dans les petites rues coloniales et l’original musée des instruments de musique. Et je file prendre le bus avec les trois amiénois Fabien, Cindy et Andrew, pour clore rapidement cette escale à La Paz qui m’a positivement surpris.

13 heures de bus de nuit, direction Sucre, la plus belle ville du pays. L’explication du trajet par le chauffeur en début de trajet est un vrai numéro d’acteur : air inspiré et convaincu, longs silences entre deux phrases, intonations marquées sur chaque mot, inspirations profondes... il a dû faire l’Actor’s Studio. Comme il recommence en anglais, ça nous fait un peu de rab’ pour apprécier la performance.
Au réveil, quelques minutes avant d’arriver, je vois une alternance rapide de quartiers riches impeccables et de quasi-bidonvilles, toujours étonnant. Et quelques scènes de vie sur les trottoirs malgré l’heure matinale : la ville se réveille, des gens très modestes ouvrent leur petit commerce, souvent dérisoire. Les premiers jours dans un nouveau pays sont toujours amusants et passionnants : on observe beaucoup, on ne comprend pas tout, on compare avec le pays précédent, on essaie de cerner quelle sauce unique fait marcher le tout.

Et on arrive au petit matin, pas bien frais comme d’habitude. Je retrouve Emilie et Hervé, déjà croisés à Copacabana. Ça commence à faire beaucoup de français tout ça ! Ils font tous le choix d’un bel hôtel confortable, je me tiens à la catégorie « Très bon marché » du Routard, et me retrouve dans une chambre rustique au vieux mobilier et lit qui grince. M’en fous, je l’ai choisi d’abord ! Hein bon alors !!!




Un petit somme réparateur et j’entame un tour de la ville. Je suis ébahi devant sa beauté, tout le centre ville est blanc, uniquement des maisons coloniales. Et une douceur de vivre, un climat parfait, des gens souriants. Le genre de ville où l’on aime traîner plusieurs jours sans plan particulier, juste flâner, s’asseoir sur la Plaza et essayer les petits restos. A ce propos ça creuse et je recroise Emilie et Hervé qui me suggèrent une belle adresse à l’intérieur du marché, las 7 Lunares, réputées pour leur jambon et leur chorizo.
Le temps de les trouver, on découvre un marché beaucoup plus propre que d’habitude, aucune odeur de viande qui prend à la gorge. Et les fameuses 7 Lunares tiennent leur promesse : un bel étal tenu par 7 femmes, très accueillantes et sûrement un peu fières de leur comptoir mais sans le montrer, où l’on peut manger des sandwiches à tomber par terre, et d’une hygiène irréprochable, ce qui est assez inattendu dans un marché d’Amérique du Sud.
C’est l’occasion de rencontrer Félix, un chilien qui rigole tout le temps et traîne sa guitare à droite à gauche pour vivre sa vie. Sa femme est de Lille, ça lui permet de connaître beaucoup d’expressions françaises … surtout autour de la fumette. RDV est pris pour aller boire des coups le soir, ça devrait promettre.




Je recroise les trois amiénois (décidément c’est un vase clos) et les envoie aux 7 Lunares, puis repars pour un tour en ville pour admirer les maisons coloniales, et les photographier sous toutes les coutures, même si je sais qu’après ce sera pénible de regarder vingt photos de maisons à la suite. Alors que revoilà … Emilie et Hervé, accompagnés cette fois de deux autres couples français, Elise et Damien, François-Xavier et Marie-Sophie. Tant qu’à baigner dans le français, allons-y gaiement ! Comme en plus on est dans une ville stylée et raffinée, ça colle bien (oh le chauvin ! j’assume). Un apéro qui se prolonge, on choisit le resto … de l’Alliance Française, tout simplement pour se faire plaisir, et on passe une vraie bonne soirée, réussie aussi pour les papilles. Oups, j’ai oublié Félix, on avait rendez-vous à 21h sur la Plaza pour écumer les bars !

Le lendemain matin est consacré à toi, petit bloglecteur, pour écrire l’article du Lac Titicaca et charger les photos. 4h dans un café juste pour profiter du wifi, si c’est pas de la dévotion ça ! Pffff ...

Je retrouve Félix aux 7 Lunares, qui ne m’en veut pas pour hier soir et me parle des bars à happy hour pour ce soir, et Christina et ses consoeurs derrière leur comptoir préparent toujours aussi aimablement et proprement leurs sandwiches au chorizo. Rassasié, un sourire papillaire persistant aux lèvres, je repars arpenter la ville. Je ne peux pas me passer de photographier les belles maisons coloniales, même si je sais qu’après ce sera pénible d’en regarder vingt à la suite dans les albums … Après un tour rapide en haut du clocher d’une église pour admirer les toits, puis dans un beau jardin public planté d’une sorte de mini Tour Eiffel et fréquenté par des dizaines d’ados-bécoteurs, je suis attiré par le bruit venant d’une cour de collège. Je regarde discrètement au travers de la grille et découvre une sorte de concours des talents : une danseuse sensuelle, un Michael Jackson au ralenti, et d’autres numéros joués par les collégiens, qui me laissent perplexe … On me laisse gentiment entrer dans la cour et je profite de ce petit moment imprévu pour observer l’ambiance d’un collège bolivien ordinaire.

Alors que revoilà … Emilie, Hervé, Elise et Damien, pour une nouvelle soirée française dans un petit resto. Je ne parle plus beaucoup espagnol ou anglais depuis quelques jours mais ça fait du bien. Les discussions sont quand même plus approfondies et subtiles dans sa propre langue …

Une courte nuit plus tard, je pars prendre le bus pour Potosi, une autre belle ville de Bolivie, qui fut autrefois très riche grâce à ses mines d’argent, mais dévalisée par les Espagnols. Les mines restent exploitées par une coopérative de mineurs, qui travaillent dans des conditions dignes de Germinal, et peuvent être visitées, c’est d’ailleurs la première motivation des voyageurs qui s’arrêtent à Potosi. Le trajet est magnifique, dans les montagnes parsemées d’arbres violets, rouges et verts, traversées par des lits de rivières énormes mais secs.




Je pose mon sac dans le Koala Den, parfait hotel pour backpackers : mignon, convivial, confortable, avec plein de petits services, dans une rue pittoresque. Mon dortoir est sur le toit qui domine la ville, que demander de plus.




Pendant deux jours je me contente d’apprécier la ville, très zen sous le soleil brûlant, et au style colonial très affirmé mais différent de Sucre. Je ne vais pas visiter la mine comme tout le monde, mais rencontre des voyageurs sympas comme Antonia et Emily de Toronto, les deux australiens de mon dortoir dont j’ai bien du mal à comprendre l’accent, des belges, une japonaise ... Le premier soir resto sympa avec Antonia, Emily et un suisse, suivi d’un petit bœuf dans le dortoir. Le deuxième soir, grosse scène sur la place pour l’inauguration du Festival International de la Culture qui démarre le lendemain. Pas de chance je ne verrai pas ce festival musical, je décolle le lendemain pour atteindre mon lieu mythique n°3, une sorte de bout du monde, un endroit magique …

Chau amigo !
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17 commentaires:

  1. Déjà l'Argentine dans 3 jours !
    Comme ton voyage passe vite.
    On attends les prochaines mises à jour et le lieu mythique n°3 avec ces photos.

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  2. The chemical brothers, tout simplement bon pour les oreilles ! Je n'ai pas lu ton article ce soir, mais petite réorganisation sur ton blog sympa... @ samedi pour le commentaire du nordiste. Bonne balade et si tu croises Diègo, dis lui qu'il n'est pas encore au mondial

    Audrey et Philippe du 59

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  3. @Jérôme et Anne :
    Déjà 3 mois, oui ca passe vite !
    Le lieu mythique arrive ...
    biz

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  4. @Audrey et Philippe :
    oui ca va être un peu plus pratique pour sélectionner les diaporamas !
    ciao

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  5. je regarde regulierement votre blog que je
    trouve tres bien
    des commentaires pleins d'humour et de belles
    photos , que demande le peuple !
    j'ai voyagé cet hiver entre buenos aires et
    ushuaia , vous allez vous regalé (surtout avec
    les lomos) ah le viande argentine!
    bon "voyages"

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  6. @Fabien :
    on se connait ou tu es arrivé par hasard sur mon blog (comment ?)
    merci & @ +

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  7. Bravo Nico

    Ton récit nous tient toujours en haleine.
    Comment fais tu pour maintenir un tel rythme ?

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  8. Salut Nicolas,

    Je suis d'accord avec Dad si dessus. Des lignes toujours aussi belles... quel est ton secret ?

    Je voudrais voir '' une chose '' et connaître aussi l'avis des bloglecteurs : A quoi ressemble Tortue Géniale sur un VTT de descente équipé d'un short Péruvien ! Avec un tel équipement, Cx quasi nul, pas étonnant que tu files le train à la guide !

    @ bientôt de te lire au bout du monde...

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  9. @Dad :
    merci mais justement le rythme est dur à tenir, il y a de la modif de billets d'avion dans l'air ...

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  10. @Audrey et Philippe :
    le secret ça doit être d'amer écrire, ça va pas plus loin !
    le pantalon péruvien était caché sous le pantalon spécial VTT, c'est vrai en plus ! Toujours pas de photos ... bon il est pas si terrible que ça mais moi je me sens bizarre dedans.

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  11. Salut Nico

    Tu prends des risques avec le VTT et la Ruta del muerte: tu te souviens peut être qu'il y a une bonne vingtaine d'année tu avais manqué le seul pont sur le Denacre pour te trouver dans l'eau!

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  12. Hi Nico,

    tu ne te prives de rien mon cochon !?!

    Que dire sinon que tu as forcément bien raison. Ce voyage force dans tous les cas l'admiration.

    Quelle richesse, quelles expériences, j'attends le jour où on te reverra tout changé face à l'imanquable question con : alors c'était comment ?

    Je n'en reviens toujours pas que tu regrettes ton abonnement UGC ... On dirait même une blague !

    Mais nous forcément on idéalise ton quotidien, un peu comme toi celui du petit écolier ! toujours plus beau à voir qu'à vivre, mais vu d'ici ce n'est que du bonheur !

    @+
    Bruno (Forza Picardia)

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  13. Salut nico, ça c'est du blog, et en tant que voyageuse-blogueuse je m'y connait!!!

    Bien beau toutes ces photos, on se croisera a la capitale argentine sans doute...
    En attendant bonnes chutes..d'eau et profite bien!
    Tchaoooo
    Elise et Damien

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  14. @Dad :
    j'ai pas oublié, mais j'ai pris un peu d'expérience depuis ...

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  15. @Burns :
    ben non je me prive pas, faut pas gâcher !
    non pitié pas cette quetion, tout mais pas celle là !!!
    non c'est pas une blague le ciné, j'ai ça dans la tête et ça me manque à fond, je vais finir par m'en faire un, en Argentine doit y avoir moyen de trouver une VO en anglais.
    A propos d'idéaliser, j'en parlais à d'autres français qui tiennent aussi un blog : c'est fou la différence entre votre perception derrière votre PC, et la réalité quotidienne : OK je vis une belle expérience, je vois des choses magnifiques, je ne vis que pour moi ... mais c'est pas non plus comme si j'étais sous Ecstasy jour et nuit ! Même sans être blasé, en continuant à profiter à mort, le quotidien est quand même plus banal que vous le croyez : hôtels, bus, recherche d'infos ... Je me couche chaque soir content de ma journée, mais pas survolté non plus ;-)
    @ +

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  16. @Elise et Damien :
    merci ! faut dire que ça m'a pris du temps de le faire, et je continue à chercher des améliorations ...
    Sinon ben, disfruta à donf' pour vos derniers jours, et à bientôt à Buenos Aires !!

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  17. Salut nico ! apparemment selon les dernières nouvelles de la digues ,tu voudrais ardamment nos commentaires ... et bien je m'attarde qq minutes pour t'écrire ce petit message ... Tes photos de la route de la mort sont carrément géniales ! eric et son vtt seraient bien contents d'y aller !! je lis et relis tes aventures avec plaisir ,et je vois que tu confirme une impression d'autres voyageurs ,à savoir que le pérou,c'est pas le pérou ....sauf pour les sites !
    En tout cas ,grace à toi je peux m'évader de mon quotidien de femme au foyer, et je vais compter et recompter mes sous pour un jour peut etre faire LE voyage..... !!bisous et envoie nous encore des récits !

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