Je suis reparti en Argentine ! Bientôt le nouveau blog ...
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lundi 26 octobre 2009

Iguazu y San Ignacio, la naturaleza impresionante y la historia dramatica

Après deux petites journées à Salta, je décide de m’en aller. Je n’ai pas visité les alentours de Salta, pourtant très réputés pour ses paysages. Les choix d’un backpacker au long cours sont parfois curieux : on s’attarde dans un endroit aux centres d’intérêt moyens, et on zappe d’autres sites vraiment beaux. Là j’ai décidé d’avancer, et de faire un choix : ne pas voir les Quebradas, la montagne aux 7 couleurs, Cafayate. Je suis dans le perpétuel dilemme entre profiter au maximum de chaque endroit, et me tenir à la sage résolution d’avant-voyage : on ne peut pas tout voir. Ça me donnera une raison de revenir …
Je pars donc de bon matin vers l’aéroport. J’ai décidé de me faire un peu de bien, et d’éviter un long et fatigant trajet en bus, même si je sais que les bus argentins sont au top du confort. Je reporte le moment fatidique de mon premier trajet de plus de 20 heures.

La destination : Puerto Iguazu, petite ville à la frontière de l’Argentine, du Brésil et du Paraguay.
L’intérêt : les chutes d’Iguazu, mondialement connues pour être énormes, magnifiques, parmi les plus belles au monde. C’est une motivation suffisante pour quitter rapidement Salta.

Pendant le vol, le ciel est dégagé, et je peux mitrailler à volonté. Les paysages sont superbes, ponctués de champs énormes aux formes géométriques. Au fil du vol, la végétation se fait plus dense, plus verte, les grands espaces sont traversés par de longs fleuves sinueux et bruns. Nous arrivons en zone tropicale.




Dès l’arrivée à l’aéroport de Puerto Iguazu, le décor est très marqué : la terre est rouge ocre, et la végétation est d’un vert intense, créant un superbe contraste. L’atmosphère tropicale est chaude mais lourde. Je trouve un petit hôtel pour backpackers, choisis le dortoir comme d’habitude, garantie de rencontrer d’autres voyageurs sympas, et passe une après-midi paresseuse.

Le soir je pars pour un autre hôtel pour une soirée parilla et tango. Je prends le bus avec Erin et Cait, deux américaines de Seattle qui sont dans le même dortoir. Peu bavardes au début, elles sont finalement surprises de voir qu’il est possible de discuter en anglais avec moi.

Je perçois souvent la même réaction de la part des anglo-saxons que je rencontre : ils ont une petite réaction de surprise en apprenant que je suis français, comme s’il y avait une touche d’exotisme (« oh, la France, ouh la laaaa »), mais ne poussent pas la discussion très loin, comme persuadés qu’elle n’est pas possible, parce que forcément je ne peux pas parler anglais puisque je suis français. Il faut donc montrer le contraire, et faire le « premier pas ». Ce n’est pas systématique mais fréquent.

Je prends donc le bus avec Erin et Cait, deux américaines de Seattle qui … ah non ça je l’ai déjà écrit. Leurs langues se délient et m’acceptent comme nouveau copain dûment estampillé « sait-parler-anglais » (j’ai échappé de peu au marquage au fer sur la fesse). Elles s’avèrent en plus être de grandes voyageuses, très au-dessus de la moyenne américaine. Nous passons une belle soirée avec une parrilla énorme et une démonstration de tango.

Je rentre plus tôt, un peu assommé par mes trois ou quatre heures de sommeil quotidiennes depuis quelques jours, oublie mon guide dans le taxi (ce qui est toujours un peu pénible vu ce que ça coûte), et vais me coucher après un coup d’œil perplexe à l’allemand grassouillet, en slip rouge et masque sur les yeux, qui dort en bas de mon lit superposé. Un instant j’ai cru voir Superman dormir.

Le lendemain Erin et Cait se lèvent difficilement et douloureusement, et me proposent de les accompagner pour voir les chutes côté argentin. Le côté brésilien attendra, je ne vais pas me priver d’une si bonne compagnie. Trente minutes de bus et nous sommes déjà à l’entrée du parc. Je suis agréablement surpris de ne pas trouver d’hyper-exploitation commerciale, comme aux chutes de Niagara au Canada. Et il y a peu de monde, pour ne rien gâcher.

Pas de chance, on nous annonce que le niveau des eaux est trop haut pour monter en bateau, il faudra se contenter de marcher autour des chutes. Nous démarrons par le circuit supérieur. Encore plus qu’à Puerto Iguazu, on se sent en milieu tropical. Il fait chaud, les moustiques rôdent, mais nous rencontrons surtout des bêtes bien plus grosses : les coatis. Ils ressemblent vaguement à des castors (enfin je n’ai rien trouvé de plus proche), se promènent partout en liberté, et recherchent activement de la nourriture, surtout celle des touristes. Erin en fait l’expérience en posant son sac par terre, immédiatement plusieurs rappliquent et essayent de fourrer leur tête dedans. Encore à peu près calmement, mais les panneaux expliquent partout qu’ils sont agressifs.

Nous voyons les premières « petites » chutes, en fait nous passons juste au-dessus de leur ligne de chute grâce aux passerelles, et voyons d’en haut l’eau qui s’écrase beaucoup plus bas. C’est une mise en appétit, mais le brouhaha grandit, et prévient du grand spectacle qui s’annonce. Et enfin on y arrive, on peut voir les principales chutes, une bonne dizaine au moins, séparées par des mini-îlots de verdure qui résistent, les rendant encore plus belles.

Tout le monde m’avait prévenu que c’est impressionnant, mais même en le sachant, on reste sans mot pour décrire cette merveille, à part l’habituel « wooow !! » (que je prononce à peu près tous les deux ou trois jours depuis que je voyage en Amérique du Sud).
Lieu mythique n°4 atteint.




Le bruit est énorme, l’eau s’écrase plusieurs dizaines de mètres plus bas, en deux « marches » distinctes, avec une violence difficilement descriptible. Le nuage d’eau qui se dégage arrose un large périmètre autour des chutes, permettant même à de grands oiseaux de planer et de jouer avec le courant d’air, loin et très haut face à nous, près du côté brésilien.

Le temps de manger en se protégeant des coatis envahissants et déterminés, nous enchaînons avec le circuit inférieur. La végétation est encore plus dense, des papillons splendides volent autour de nous, un pivert très coloré vole trop vite pour que j’arrive à prendre une photo. Et nous arrivons à nouveau aux chutes, en bas cette fois-ci. Là on peut voir le spectacle de l’eau qui s’écrase, vraiment très près, et il est difficile de protéger l’appareil photo. L’humidité est partout, les chutes sont à plusieurs centaines de mètres mais le nuage d’eau envahit l’air jusqu’ici. La passerelle nous emmène jusqu’au pied des chutes, pour la traditionnelle photo dite du « ouéééé, j'suis trop un fou moi ! Dépêche-toi de la prendre, j’suis trempéééé !!! ».




A gauche de l’île San Martin, au loin, on devine difficilement la Garganta del Diablo, cachée derrière son nuage. Des bateaux surpuissants, remplis de touristes tous en imperméable, s’y aventurent en poussant le moteur à plein régime, et se laissent dériver en arrière, dans un courant infernal. Partout des arc-en-ciel, quelquefois doubles, se détachent des eaux brunes.

Je ne me lasse pas du spectacle, je suis tenté de prendre cent fois la même photo. Le circuit inférieur laisse encore apercevoir quelques cascades cachées en retrait. Et pour profiter au maximum du site, nous abordons une petite randonnée de deux heures à travers l’enfer vert, attaqués par les moustiques, avec pour but une autre belle cascade à l’écart des autres.

Retour à l’entrée du site, dans le noir, et à Puerto Iguazu en bus, après une journée vraiment belle. Toujours avec Erin et Cait, je m’enfile un buffet monstrueux dans le restaurant classe à quelques mètres de l’hotel, et direction nos lits, toujours avec Superman en slip qui dort sous le mien.

Le lendemain matin, malheureusement Erin et Cait s’en vont pour Mendoza, elles font partie des voyageurs de plusieurs semaines, qui doivent enchaîner rapidement les étapes. Matinée glandouille pour moi, j’hésite à partir voir les chutes du côté brésilien mais je m’y prends trop tard. L’atmosphère est lourde, orageuse. Il fait quasi-noir en pleine après-midi et se met à pleuvoir, c’est parfait pour une petite séance photo dans le quartier mignon derrière l’hôtel, fait de larges rues pavées et déglinguées, rougies par la terre argileuse et bordées de grands arbres. Je patauge dans la boue mais me régale de photos à la lumière originale.




Et le véritable orage arrive, déversant des torrents d’eau sur la ville. Apparemment c’est classique ici, à cause du climat tropical, mais c’est impressionnant. Et ça ne s’arrête pas pendant des heures et des heures. L’occasion d’une soirée pâtes + foot avec Iñigo, espagnol de Bilbao, Candido de Tenerife, et quelques argentins de Buenos Aires. Ça parle espagnol, assez vite, donc je ne comprends pas tout, mais je goûte au plaisir de ces hôtels pour backpackers qui fournissent une cuisine en libre service, et des petites soirées simples mais mémorables, ou quelqu’un cuisine pour tout le monde. L’impression d’être à la maison et non simple client anonyme d’un hôtel. Et c’est l’occasion d’organiser le départ du lendemain avec Iñigo.

Quelques heures plus tard, et un peu de sommeil au doux bruit des trombes d’eau, je prends le bus avec Iñigo, qui me fait le plaisir de parler espagnol doucement, me donnant l’impression d’être enfin bon en espagnol puisque je comprends tout. Quatre petites heures de bus (une plaisanterie ici) vers San Ignacio, pour visiter les ruines d’une mission jésuite, la mieux conservée en fait.

Les jésuites étaient venus évangéliser les indiens guaranis et les protéger des colons espagnols et portugais. Immédiatement on repense au film « Mission » sorti en 1986, qui avait été tourné près des chutes d’Iguazu. Pour ce que je m'en souviens, c'était un chef d'oeuvre, il faut que je le revoie.

Le trajet en bus est encore très beau, toujours dans ce contraste permanent entre terre ocre et végétation verte. L’arrivée à San Ignacio est une belle surprise : c’est une petite ville de l’Argentine profonde. Les maisons sont peu soignées, des baraquements pour certains, légèrement sales à cause de la terre argileuse. Mais pour autant je n’ai pas l’impression d’une réelle pauvreté, les gens ont l’air tranquilles et heureux de vivre ici, simplement et avec peu de confort. De nombreuses rues sont de longs chemins de terre, en pente, tracés à travers la forêt tropicale. On y voit de vieilles voitures américaines un peu délabrées, de vieux pick-ups massifs et carrés sortis tout droit de l’Amérique profonde.




Nous visitons les ruines, encore assez bien conservées bien qu'envahies par la nature. Les logements, la place centrale gigantesque, l'église, le cloître. On essaie forcément de s'imaginer ce que pouvait être la vie ici, toujours avec les images du film Mission en tête.



Il règne une atmosphère particulière ici, hors du temps et loin de la modernité. L’authenticité de l’Argentine profonde, qui séduit Iñigo autant que moi. Lui reste ici deux ou trois jours pour visiter les autres missions, moi je reprends le bus en fin d’après-midi pour le cœur bouillonnant de l’Argentine : la mégapole Buenos Aires.

Encore une étape que j’attends depuis un moment, et qui me tend enfin les bras.

¡ Chau amigo !
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28 commentaires:

  1. Triple Buses, t'abuses !
    Tu ne serais pas en train de prendre de haut les voyageurs de "quelques semaines" qui réalisent malgré tout le rêve de beaucoup ?

    Fais gaffe Nico, tu tournes carrément salaud !

    Sinon, pour suivre la tradition maintenant officielle : Merci Nico, ton blog est dément, et je m'oublie complètement en te lisant.

    Mon âme quitte mon corps, et là je me vois dans un état de concentration incontestable, des étincelles dans les yeux, et un sourire idiot au coin des lèvres.

    Tu sais ce sourire sans aucun avantage mais complètement assumé qui clot toute partie de fesses digne de ce nom :-)

    En un mot Merci !

    Je repense à nos dicussions d'avant départ, qui disaient "qu'un an" n'était qu'un plan, que peut-être ce serait moins, et que peut-être ce serait aussi autrement ! Mais tu crois que tu vas réussir à rentrer ? T'en est où de ton voyage ? As-tu plus l'impression de te trouver ou de te perdre un peu plus chaque jour dans un rêve éveillé ? Vu d'ici j'imagine beaucoup de sentiments contraires ...

    Bises
    Bru

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  2. Tu as retrouvé le climat de Lille ? Les pavés... Paris -Roubaix ? Tu es perdu dans la forêt de Raismes ?

    L'espace temps entre chaque lieu à voir est bien plus court qu'il y a quelques jours, quelques semaines... Après les grands plateaux arides, place à la drache argentine... Et bientôt le béton de Buenos Aires.
    Hormis les 4 lieux mythiques, quel est l'endroit qui t'a le plus marqué ? L'endroit qui t'a le plus ému ?

    A bientôt Tortue géniale...

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  3. @Burns :
    Oh je ne critique pas les voyageurs de quelques semaines, ce serait stupide ! et je comprends leur rythme infernal mais je les plains. Je risque d'y être réduit aussi, un jour ...
    Sinon, ben merci pour la tradition officielle :-)
    Heureusement que j'ai des encouragements comme ça, sinon j'aurai décroché tellement j'ai du mal à suivre le rythme d'écriture. Il se peut qu'un des messages à venir soit assez succinct et sobre :-(
    Sur la durée théorique de mon voyage, et la difficulté de revenir ... you 've got a point ! Je me pose la question activement depuis plusieurs jours.
    Il y a bien de la lassitude certains jours, selon la qualité de mon programme. Mais aussi une certaine habitude, agréable, de vivre comme ça, qui s'installe et éloigne les souvenirs déjà lointains de mon ancienne vie laborieuse. Elements de réponse à suivre dans plusieurs mois ...

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  4. @Philippe :
    c'est vrai que ça s'est accéléré récemment, sauf pour la prochaine étape (la prochaine dans le temps blogesque mais la dernière dans le temps réel). Message à venir ...
    Dans les lieux marquants, je mettrais le sommet du Cotopaxi, le lac Titicaca, et le trip Salar+Lipez. Mais c'est vraiment pour te faire plaisir et faire un top 3 parce que laiste pourrait d'étendre facilement
    @ +

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  5. salut Nico, Tes recits et photos donnent réellement envie ! Je ne voyais pas l'Amerique du Sud aussi beau, certainement un continent que mettrai en haut de la pile. Je vois que Bruno est à 2 doigts d'acheter son Sky team World tour pass; allez Bruno, tu n'as que quelques clics à faire ( avec qd même un n° de 16 chiffres à donner ) .. @+
    Vianney

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  6. salut nico! toujours aussi impressionant ! je note dans mon futur carnet de voyages-que-je-ferai-un-jour de ne pas manquer les chutes ! ça a l'air extra et comme tu le dis si bien, pas blindé de touristes....tout ce blog me confirme l'impression que l'amérique du sud est un super continent et moi aussi je vais le mettre en haut de ma top liste ! reste à trouver qq mois et qq sous....en tout cas bravo pour ton blog ,super complet,un plaisir à lire et à partager !

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  7. @Vianney :
    Moi je n'en doutais pas, mais je reste étonné à chaque fois.
    Le Burns il va acheter ses derniers placos, et avec ce qui lui reste s'acheter les billets d'avions ...
    @ +

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  8. @Fabienne :
    c'est l'Argentine toute entière qu'il faut aller voir de toute urgence ! pour ce qui est des chutes pas blindées de touristes, j'ai surtout eu de la chance, c'est quand même parmi les sites les plus réputés au monde ...
    merci & @ +

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  9. ehhhh, bien jouez pour les ptites americaines!!!!!par contre on est pas d'accord avec boris vian et sa citation, est ce qu'il a deja monté une montagne de 6000 en equateur ou au perou lui???????
    bizzzzz

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  10. avis a toi nico, je troque deux americaines contre une emilie, si ca t interesse?!?!

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  11. @ Nico et @ Vianney,

    Hey oh les gars, tout doux !

    Je reconnais ne pas être insensible du tout à l'expérience, et même porter ce rêve assez haut, mais ...

    Le Nico a quand même eu des corones impressionantes de se lancer, et je ne prétendrai pas en avoir autant !

    Suis fauché, la sdb n'en finit pas (quoiqu'on commence à en voir le bout) la cuisine et le bureau ne sont pas commencé ... Quand je vous disais qu'on en aurait pour 5 ans, je trouve de plus en plus que ce sera très beau si on arrive à boucler notre projet on time.

    Bref, pour le temps et les sousous, faudra r'passer !

    Bises
    Bru

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  12. Seattle... Merveilleux souvenir d'une année passée sur place avec Michael, Jonathan, Michelle, Mignonne et les autres...
    Bon, c'est pas le sujet, mais j'avais envie de l'écrire !
    François de Loos dans le Nord

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  13. A travers tes récits on ne peut pas se demander" mais qu'est-ce qu'on veut faire de notre vie..." putain tu as des couilles mon salaud...et c'est pas les américaines qui vont me contredire!
    Allez, j'te love, j'te kiss....

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  14. PS, moi je veux et j'exige dès ton retour le CD avec toutes les musiques que tu as choisi pour ce blog....
    Chiche?

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  15. @les boulets :
    Mouais le Boris il la ramenait pas mal, surtout qu'il était malade du coeur, alors je voudrais bien le voir monter à 6000 ...
    Echanger Emilie contre deux américaines ? ça dépend de son accent quand elle parle anglais, mais je reste open par principe.
    Muchos besos a ustedes !!

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  16. @Burns :
    Des corones, mouais c'est pas si compliqué que ça, et mon cher ex-patron m'a facilité la tâche (je dois lui envoyer une carte postale pour lui montrer que qu'il a aidé à financer ?).
    Et pour tes travaux ... allez sois moins exigeant, ça ira plus vite ;-)

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  17. @François-de-Loos-dans-le-nord :
    aaah, quelle vie tu as menée ! dommage que les blogs n'existaient pas ...
    pour mon prochain message, je prédis que ton commentaire évoquera ton expatriation à ... Lyon :-o

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  18. @Emilie :
    Le jour où enfin on se pose la question, on met un peu de temps à trouver la réponse, mais on la trouve, enfin des éléments au moins.
    Mais toi aussi t'as ouvert une porte, non ? (même si tu ne l'as pas encore franchie et fermée derrière toi, mais le courant d'air va t'aider ...).
    J'te love, j'te kisse, j'te p....., j'te r....... oh pardon c'est pas toi Thérèse !

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  19. @Emilie :
    pour le CD ça devrait pas être bien dur ! je comptais faire évoluer la playlist toute l'année, mais je n'y arrive pas, Deezer doit avoir des blocages selon le pays où on se trouve. Il faudra se contenter de celle-là, elle lasse pas trop à force ?

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  20. Salut Nicolas
    je suis le neveu de Stéphanie et Ghislain et je part pour Buenos aires le 3 novembre, peut être y sera tu encore.
    envois moi un message si on peut se retrouver pour prendre un verre.
    Valéry

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  21. Mouais, après visu des photos, je comprends que tu étais triste de quitter les américaines! D'ailleurs, il n'y a jamais eu autant de photos de tes coéquipier(e)s jusqu'ici !! Superbes...les chutes...

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  22. pascal (in the moon)30 octobre 2009 à 00:06

    toc,toc,toc?!!! ya quelqu'un?
    me suis perdu depuis 2/3 semaines et j'trouvé plus le chemin! :)
    (tout ça pour dire que j'ai loupé tes 3/4 derniers posts!!! :) )
    juste merci nico et keep the good vib's! t'est photos sont juste magnifiques et grâce a toi,je suis en voyages permanent!!! (pas cher mon fils,c'est pas cher!!! :) )
    super content de savoir que tu connais l'ivresse de la chute libre!! t'est un oiseau mon pote alors continu de voler de tes propres ailes!
    bizzz

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  23. @ Jérémie
    Les chutes ... ? ... du Rhin ?

    @ Nico,
    pour les travaux, j'ai l'impression d'entendre quelqu'un d'autre !
    Salop ;-)

    Bru

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  24. @Jérémie :
    c'est elles qui ont pris ces photos, elles en prennent rarement sans se mettre dessus. Mais je ne nie rien, difficile de rester concentré sur les chutes ...

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  25. @Moon :
    eh bien re-bienvenue alors !
    il y a une fonction fantastique sur ton navigateur qui s'appelle "Favoris", je te montrerai un jour, c'est difficile à expliquer là comme ça ;-)
    ce skydiving était fantastique, il faut que je le refasse si possible de plus haut (mon budget va exploser ...)
    @ +

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  26. @Burns :
    plus je te lis plus je me dis que t'as du sang de Salembier, enfin au moins le même gêne du style littéraire :-)

    Quelqu'un d'autre t'aurait déjà dit que tu es perfectionniste ? c'est étonnant ! ton cher frère peut-être ?

    @ +

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  27. " Connaître le monde, c'est se connaître soi-même " (citation de Jean Paul Bourre)... Qu'as tu découvert en/sur toi Nicolas ?

    Se retrouver avec soi...

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  28. Hola Nico,
    on s'est croisés au Baluch Backpackers à Còrdoba. Bonne continuation*

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