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jeudi 29 avril 2010

De plage en île en plage ... la côte du Cambodge


Après quatre jours pas désagréables à Phnom Penh malgré la fournaise, j’attrape un bus pour foncer vers la côte, et la promesse de longues et belles journées. Demain c’est le nouvel an Khmer, le bus est plein de cambodgiens habillés sur leur 31 pour rejoindre leur famille. Pour moi ce sera la troisième fois que je « fête » le nouvel an, après celui du 31 décembre et le Têt vietnamien. A chaque fois des inconvénients, des bus pleins, des prix gonflés, ça devient lourd …

Mon objectif est Kampot. Cette petite ville n’est pas exactement sur la côte mais toute proche, au bord d’une rivière. Elle ne manque pas de charme avec ses vieilles villas françaises, et elle est surtout connue pour sa production de poivre, vert quand il est jeune ou noir. Avec les fruits de mer à profusion sur la côte, c’est la promesse d’une gastronomie à faire saliver …

J’y arrive vers midi, sous un soleil écrasant, et m’installe dans une belle petite guesthouse où doivent me rejoindre Fiona et Jola, rencontrées la veille à Phnom Penh. En déjeunant au bord de la rivière, je rencontre Estelle, française qui étudie à Bangkok, Zoé grecque et Yul, hollandaise. Elles veulent louer un scooter pour l’après-midi, pour aller voir une grotte et une cascade. C’est le genre d’idée à laquelle je ne résiste pas. Après un petit tour de la ville pour constater qu’elle est très endormie, nous louons trois scooters mais Yul se sent subitement très mal, apparemment une réaction digestive ultra-rapide au déjeuner tout juste avalé. Je pars donc seulement avec Estelle vers la grotte de Phnom Chnork. Après quelques kilomètres d’une route chargée, étroite et chaotique, nous entrons sur un chemin de terre qui s’enfonce dans la campagne. Le paysage est splendide, fait de rizières aujourd’hui asséchées, de palmiers, et de maisons traditionnelles cambodgiennes encore plus belles que d’habitude.



A force de demander notre direction sur ce chemin plein de trous, un jeune garçon qui parle tout juste anglais se propose d’être notre guide. On sait vaguement qu’on en aura besoin, donc il laisse son vélo sur le côté et monte derrière moi sur le scooter. Cet endroit est magique, mais il faut surtout se concentrer sur le chemin défoncé. Nous arrivons à la grotte, et notre jeune guide a ameuté deux de ses copains qui parlent bien anglais. Nous entrons donc avec trois jeunes tchatcheurs qui se débrouillent pas mal comme guides, nous montrant les formes d‘animaux formées dans la roche par les ruissellements. Pas beaucoup plus à voir, à part une belle vue sur les rizières et palmiers alentour. Nous repartons par le même chemin à travers les rizières, je dépose notre guide qui a gagné son dollar, et repartons vers Kampot. Direction la cascade de l’autre côté de la ville. Comme il n’y a pas moyen de la trouver, et que personne sur le bord de la route ne parle anglais, nous montons en haut de la colline avec les scooters pour une vue spectaculaire. Au bord de cette route raide, quelques baraquements très pauvres, des adultes et des enfants plus enthousiastes que jamais à nous lancer des « Hello ! ». C’est amusant de voir qu’au Cambodge, dès que l’on s’éloigne quelque peu d’une ville ou d’une route, immédiatement on déclenche dix fois plus de réactions et de sourires, comme si l’on passait dans un endroit reculé où ne passe aucun étranger. Ici ce n’est pas loin d’être le cas, les enfants sont enthousiastes mais quand même un peu farouches, n’osant pas nous approcher de trop près.




Nous roulons vers Kampot en pleine nuit, aveuglés par les cendres qui volent à cause des champs en feu sur les côtés. Dans la guesthouse, je retrouve Fiona et Jola qui viennent d’arriver, accompagnées de Markus, un allemand qu’elles connaissent depuis les 4000 îles au Laos. Nous sommes rejoints par Estelle, Zoé et Yul, et à sept donc nous partons dîner dans un restaurant local, un des rares ouverts à cause du Nouvel An. Puis nous marchons à travers la ville obscure, presque démunie de lampadaires, et tombons sur une petite boum avec plein de jeunes cambodgiens qui dansent comme des fous sur de la techno commerciale crachée par une sono braillarde. Forcément ils veulent qu’on danse avec eux, qu’est-ce qui pouvait leur faire plus plaisir que des étrangers à leur boum ? On se force un peu parce qu’il faut bien, et un peu pour le fun, et on prend congé pour rejoindre un bar tenu par des anglais, dans une rue calme et sombre. Encore des occidentaux, jeunes ceux-là qui se sont expatriés au Cambodge, et dans un coin très très calme, cela fait réfléchir.

Le lendemain est encore une journée scooter, sans Estelle qui nous quitte. Nous décidons d’aller au sommet de la montagne Bokor, où se trouvent les ruines d’une ancienne station de vacances pour les colons français, abandonnée à l’arrivée des Khmers Rouges et laissée à l’abandon depuis. Au pied de la montagne un péage-racket nous déleste de 5 $ chacun, et nous nous engageons dans l’ascension, d’abord sur une belle route asphaltée, puis sur un chemin en terre de plus en plus défoncé, reste de l’ancienne route. Première constatation, nous ne sommes pas seuls, de nombreuses voitures montent également, à bord de gros 4x4 pour la plupart. Probablement des familles réunies pour le Nouvel An, qui viennent visiter Bokor pour la journée. Heureusement on peut facilement les doubler dans la montée, parce que c'est le défilé, et le pire est à venir ...

Le chemin est de plus en plus dur et encombré par les voitures, jusqu’à ce que nous arrivions au sommet de Bokor. Là grosse déception, la cité fantôme recèle très peu de villas, seulement une église, un ou deux bâtiments, et au loin un énorme bâtiment qui a l’air d’attirer tout le monde. Petit tour dans l’église entièrement taguée, et séance photo avec une vue fantastique sur toute la côte et les îles au large.




Pendant ce temps les voitures continuent d’affluer, et le sommet de la montagne devient un gigantesque embouteillage. On se rapproche comme on peut du grand bâtiment, zigzaguant entre les voitures et les grosses pierres. On gare les scooters comme on peut, et on traverse un terrain vague en passant devant une des nombreuses familles qui pique-niquent et veut nous faire goûter un peu de leur mixture, à l’apparence spéciale mais excellente. Ce grand bâtiment est en fait l’ancien casino-hôtel, à l’architecture imposante et prestigieuse. La façade tire une sale tête, mais l’édifice tient parfaitement debout, défiant le temps. Et le plus grand jeu de tous les cambodgiens, et nous aussi bien sûr, est de se balader à l’intérieur pour admirer ce vestige d’un autre temps, celui de la présence française et du luxe.

Et comme il fait chaud à l’extérieur, les familles s’installent à même le sol, pourtant très sale, de ce qui devait être un grand salon. Le sol est très sale, on frôle les 100 décibels tellement il y a de monde, mais ils sont contents de pique-niquer là, dans le plus pur style asiatique. Et qui dit gastronomie asiatique dit : on fait des miracles culinaires avec presque rien, et en respectant l’hygiène alimentaire malgré la saleté ambiante. Certains font carrément griller des poissons sur un mini-barbecue à même le sol, on salive. A l’extérieur du bâtiment, le monde est encore plus fou, le parking vert est envahi de voitures garées dans tous les sens, les familles pique-niquent n’importe où, dans des positions qui nous paraissent contraires au plaisir.



C’est plein, engorgé, on s’y sent déjà oppressé, mais les voitures continuent d’affluer. Je n’ose pas imaginer le gigantesque embouteillage quand ils décideront de repartir, et justement il paraît y avoir un bon créneau, donc on enfourche les scooters et on démarre. Joie de courte durée, 200 mètres plus loin, le chemin est paralysé, par les gros 4x4 qui essaient de se croiser sur ce chemin défoncé et étroit. Deux ou trois policiers font vaguement la circulation mais ne servent à rien. Tous les cambodgiens coincés dans leurs 4x4, essayant d’atteindre le sommet, semblent trouver ça normal, personne ne régule ou ne limite le flux de voitures. Un 4x4 bloque même toute la circulation, moteur qui fume. Nous là dedans on essaie de se faufiler, de doubler, d’éviter les grosses pierres, de préserver le scooter, de ne pas tomber, et on se prend des tonnes de poussière dans les bronches. Derrière Zoé et Yul sont à deux sur leur scooter, et débutantes, elles dégustent. On s’extirpe lentement de tout ça, on redescend la montagne, accueillant l’asphalte comme une oasis. Je me dis que ce n’était ni l’endroit ni le jour pour un débutant de s’initier à moto, comme Zoé par exemple.

J’arrive à la barrière en bas largement en avance, avec Fiona, et nous attendons longuement les autres, beaucoup trop longuement. Finalement Jola et Markus arrivent et nous apprennent que Zoé et Yul sont passées devant nous dans une voiture, direction l’hôpital. Elles ont chuté plus haut, et Zoé s’est méchamment ouvert la jambe. Intuition malheureusement juste de ma part, mais j’avais prévenu les autres qu’une journée mal démarrée, avec deux ou trois bricoles le matin, était un mauvais signe. Je ne crois pas si bien dire, la journée n’est pas finie.

Nous repartons donc à Kampot, cherchons en vain Zoé à l’hôpital quasi-désert, et déjeunons d’un plat à fondre sur place, sur un petit stand sur le trottoir, avant de repartir vers la grotte Phnom Chnork. Je l’ai déjà vue la veille avec Estelle, mais l’environnement est tellement magique que je ne me fais pas prier pour servir de guide. Nous retraversons donc ce lieu magique, entre rizières et maisons traditionnelles, évitant les méchants trous, pour arriver à la grotte. Sans savoir pourquoi, j’ai l’impression d’être sur une île, peut-être le souvenir inconscient de celles que j’ai visitées récemment comme à Kom Pong Cham. Les digues de démarcation entre les rizières forment un réseau de petits chemins qui se croisent dans tous les sens, je voudrais avoir un vélo pour m’y aventurer et m’y perdre. La jouissance de ce paysage ne saurait être complète sans les regards étonnés et souriants qui nous entourent. Cela me fait penser à un article lu il y a quelques jours à Phnom Penh, qui regroupait le Vietnam, le Laos, le Cambodge et la Thaïlande sous l’appellation « Pays du sourire ». Définition parfaite.

Nous arrivons à la grotte, nous sommes immédiatement abordés par un ou deux jeunes enfants qui se proposent comme guides. J'attends à l’extérieur, et profite du spectacle simple de paysans qui arrosent leur champ avant le coucher du soleil, portant courageusement des litres d’eau sur leurs épaules, et les déversant suivant une chorégraphie involontaire mais élégante.



Les autres paraissent s’amuser comme des fous dans la grotte, guidés avec plaisir par les enfants qui dévoilent tous leurs secrets, leurs passages. Surtout Markus qui ressort le crâne légèrement ouvert et ensanglanté pour s’être cogné contre une paroi. Quand je disais qu’il y a des journées maudites … On rémunère les deux jeunes guides, on mitraille le coucher de soleil et on repart doucement, s’arrêtant souvent pour prendre des photos. Je roule devant bien que lentement, je vois un petit bout de bois se prendre dans ma roue, je freine doucement pour m’arrêter, le scooter se met brusquement de travers, et je me retrouve à terre sans avoir bien compris, une jambe sous le scooter.  Les trois jeunes cambodgiens qui marchaient là mettent un peu de temps pour réagir, mais finissent par me dégager. La peau du coude gauche bien arraché, quelques éraflures sur la jambe droite. Je douille mais remonte quand même sur le scooter, pour rentrer à Kampot. Quand je disais que la journée avait mal démarré … d’ailleurs récemment je me disais qu’après toutes les fois où j’ai loué un scooter en Asie, j’étais plutôt content de n’avoir encore rien eu. Les rues des villes asiatiques sont pleines d’occidentaux avec un bandage …

Nous passons une soirée tranquille à l’hôtel, et retrouvons Zoé et ses points de suture, administrés par un docteur bizarre qui se marrait et lui disait de regarder. Le lendemain je décide de partir à Kep, avec Fiona et Jola. Markus repart en Allemagne, Zoé est coincée par sa blessure, et Yul aussi donc.

A peine 30 minutes de bus et nous voilà à Kep, au bord de la mer. Kep est une station balnéaire huppée, qui était très prisée des colons français. C’est Nouvel An, de nombreux hôteliers décident d’augmenter leurs prix même s’ils ne sont pas pleins, va comprendre ! C’était pareil au Vietnam, je commence à en avoir marre de fêter le Nouvel An, d’autant qu’ici il ne se passe rien, même pas de feu d’artifice. Il faut donc prendre une guesthouse très excentrée sans vue sur la mer, mais pas désagréable. Nous revenons dans le centre de Kep en tuk-tuk, et nous nous baladons le long de plage, bondée de familles venues fêter le Nouvel An. L’attraction vient surtout de Fiona, les cambodgiens semblent n’avoir jamais vu de cheveux crépus et trouvent ça très marrant. Ce que nous trouvons très marrant, nous, c’est que les familles sont toujours en train de manger, assis en rond sur une bâche. On pousse un peu plus loin, et à notre grand bonheur nous sommes invités au pique-nique d’une famille assez nombreuse. On nous sert et re-sert en bières, en riz, viande et autres plats inconnus. Nous n’avons absolument pas faim mais ce serait impoli de ne pas manger, alors on se force et on trinque toutes les 2 minutes comme ils aiment faire. Heureusement un des beaux-frères parle anglais, sinon nous étions bons à sourire bêtement pendant presque une heure.



Nous prenons finalement congé, ravis de ce petit moment, et marchons vers le centre, sous des nuages noirs. Depuis plusieurs jours les nuages se font plus nombreux le matin, annonçant l’arrivée imminente de la première pluie, tant attendue. Et un bel orage éclate, accompagné d’une pluie torrentielle pendant une heure au moins. Cela ne rafraîchit pas tellement l’atmosphère mais c’est un bonheur à voir ! Un tuk-tuk accepte finalement de nous ramener à la guesthouse malgré la pluie, et nous terminons la soirée tranquillement dans la guesthouse.

Le lendemain matin c’est un autre tuk-tuk qui vient nous chercher, pour nous mettre dans une grosse barque. Direction Koh Tonsaï, ou Rabbit Island, pour au moins une journée et une nuit de farniente dans un cadre de rêve, sur fond de sable et palmiers. A peine débarqués nous savons que nous passerons au moins deux nuits. Certes toute la plage est squattée par les guesthouses et leurs petits bungalows rustiques assez rapprochés, et en cette semaine de Nouvel An il y a du monde, un mélange de voyageurs occidentaux qui restent dormir et de familles venues pour la journée. Mais on se sent bien sur cette île, pas d’Internet, électricité uniquement le soir, bungalow au confort minimum, et « salle de bains » réduite à sa plus simple expression : des jarres d’eau tirées d’une source, de l’eau supposée propre mais brune.



C’est donc parti pour trois jours d'intense farniente ou presque, de shakes à l’ananas, de poisson grillé à la sauce poivre de Kampot et citron vert (une tuerie !), de baignades au petit matin ou en pleine nuit sous l’orage qui gronde tous les soirs, de lecture dans le hamac, et de soirées autour du bar de Sam avec plein de gens sympa. Pour dire de se bouger un peu, je fais quand même le tour de l’île avec Jola, découvrant quelques familles qui vivent de la pêche, dans une pauvreté impressionnante. Le lendemain nous montons au sommet de l’île, debout sur un ancien bunker Khmer Rouge pour difficilement apercevoir les autres îles. Mauvaise idée, je tombe deux fois dans la descente sur le chemin raide et glissant, et ouvre précisément les plaies déjà faites avec le scooter. La poisse …

Finalement après trois jours, et deux nuits presque blanches au bruit assourdissant des grenouilles qui croassent juste sous mon bungalow, je quitte l’île en même temps que Jola. Fiona a réussi à se faire embaucher au bar et reste une semaine.

Je ne passe qu’une nuit à Kep, avec Jola nous dînons au Crab Market, qui n’est pas un marché mais une succession de restaurants de fruits de mer. Un dîner à se faire exploser la panse, des fruits de mer accompagnés de l’inévitable sauce au poivre. Le lendemain Jola part à Phnom Penh, je continue le long de la côte vers Sihanoukville. En attendant le bus qui ne viendra jamais, j’observe les mini-bus qui passent chargés à bloc, avec des gens sur le toit, et les bagages qui dépassent largement du coffre, en suspension au-dessus de la route : une moto, trois cochons …



Je finis par avoir un bus deux heures plus tard, et arrive à Sihanoukville. C’est le nom que tout le monde a sur les lèvres en pensant à la plage, mais c’est une ville moche, avec des plages très moyennes et du tourisme de masse. Sauf Otres Beach, une plage à 4 km. Plusieurs voyageurs me l’ont conseillée, mais elle était censée être livrée aux promoteurs. Un mototaxi m’indique qu’elle est bel et bien là, pas encore détruite, je ne réfléchis pas et m’y fais emmener, oubliant mon intention initiale de m’installer en ville pour aller voir un médecin et faire vérifier mes blessures.

C’est une plage magnifique, très longue et pas bien large. Là aussi, les guesthouses sont alignées tout le long, mais sans que cela gâche le plaisir. Je m’installe au Sunshine Café, encore un bon conseil récupéré récemment. Je passe quatre jours de farniente complet, passant tout mon temps dans les fauteuils confortables face à la mer, n’allant même pas tester les menus dans les autres guesthouses. Lecture, blog, baignade, happy hour … Il n’y a pas grand monde mais toujours les mêmes, deux russes, un couple d’irlandais, une flamande, et le couple très sympa qui tient l’endroit, Monica et Kem. Trois jours de plaisir absolu, sauf mes blessures qui ne s’arrangent pas et m’obligent à quitter ce petit paradis pour repartir en ville. Je ne me suis jamais autant arrêté dans de beaux endroits, inconsciemment ça doit être la compensation d’un rythme trop chargé depuis le début de ce voyage, d’une incapacité à ne rien faire que j’arrive enfin à soigner.




Une nuit à Sihanoukville, une visite chez le docteur, et je peux reprendre la route, en faisant tout de même l’impasse sur le trek que j’avais prévu. Pas grave ce n’est pas la bonne saison. Et je commence à trépigner en pensant à l’attraction principale du Cambodge, ses fameux temples …

Allez on se fait une journée entière de bus pour s’en approcher !
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4 commentaires:

  1. Salut frangin !
    Les photos de ton album "Otres beach" sont superbes, ca donne encore une fois envie d'y être. Et puis, cette blessure? J'espère que c'est de l'histoire ancienne ! Sinon tu la montreras comme blessure de guerre le 19 juin :D

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  2. Hello Nico !
    Combien de personnes as-tu rencontrées depuis ton départ et combien de nationalités différentes ? Quelle diversité, c'est fabuleux et que de souvenirs tu auras. J'espère que tu les retrouveras un jour ou l'autre. Quel sorte de voyage font-ils?
    A très bientôt avec la découverte des temples .

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  3. @Rom' :
    Oui c'était une belle page, un endroit super zen. Dommage que j'aie été un peu alité.
    Cette blessure a failli être de l'histoire ancienne ... jusqu'a ce que j'ai un 2e accident du meme style, 10 jours apres. La poisse ! Je suis un peu arraché de partout, plein de bandages, mais rien de sérieux. Je laisse le scooter de cote pour un moment ...
    @ +

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  4. @Maminou :
    pour le nombre, c'est dans les stats débiles. Pour les nationalités, j'ai pas fait le compte, mais c'est souvent les mêmes qui reviennent. Pour la plupart ils voyagent plusieurs mois voire 1 an comme moi, ca ne m'étonne même plus !
    biz

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